La civilisation Occidentale entre dans l’obscurité

Actuality

De Bruxelles a Londres, de Paris a Madrid, de Rome a Berlin, de New-York a Toronto, de Los Angeles a Melbourne, lacrise est profonde. Toute la societe occidentale est gangenee par les freres Musulmans et les associations islamistes et gauchistes, eles ontnoyaute tout le systeme educatif, toutes les administrations, les aeroports, les gares, les grandes societes privees et les organisationspolitiques ont toutes ete aveugles devant l’ampleur des degats actuels.


En premiere ligne, le peuple Juif. Les Israelites sont pris pour cible par cette deferlante de haine de personnes, ignorantes, racistes, antisemitesbarbares, ils n’hesitent a agresser les Juifs, en plein jour, dans la rue, devant les policiers.

mur en bois rouge et blanc


Nous avons tous en memoire, des etudiants Juifs, en danger de mort, a Stantford, a MIT, a Harvard, a Penn University et tant d’autres en Ameriquedu Nord et en Europe, le mal est profond. Beaucoup d’etudiants Juifs ne souhaitent plus se rendre aux cours car ils estiment que leur vie est en danger.


Il n’y a plus d’interdit, les incidents se multiplient, les manifestations pro hamas apportent leur haine d’Israel et des Juifs, il est courant d’entendre “Mort auxJuifs, Israel=nazi, Juifs-assassins. Des etudiants Juifs ont ete poursuivis au sein meme de l’universite Cooper, dans le centre de Manhattan par des manifestants surexcites qui etaient prets a les tuer, ils ont ete sauves par le personnel du bâtiment avait pris la décision de verrouiller les portes. Pendant ce temps, plus au nord, à Columbia, des partisans d’Israël se sont rassemblés et ont dénoncé l’administration de cette école.

Homme en chemise blanche assis sur un champ d’herbe verte devant un bâtiment en béton blanc


Le culot de la présidente de l’université, Minouche Shafik, a atteint son paroxysme lorsqu’elle a appelé à la civilité sur le campus et condamné le harcèlement en ligne, déclarant que certains étudiants avaient été victimes de campagnes de divulgation de données personnelles. Ces déclarations n’ont pas condamné le Hamas.

Les étudiants juifs, quant à eux, ont demandé à Mme Shafik d’en faire plus. La semaine dernière, un professeur israélien, Shaï Davidaï, a prononcé un discours qui a fait le tour des parents : “Je veux que vous sachiez que nous ne pouvons pas protéger vos enfants des organisations étudiantes pro-terroristes”.

Shaï Davidaï est allé encore plus loin en déclarant que le préside de l’université de Columbia, Minouche Shafik, était un lâche : “Vous êtes un lâche”, a-t-il ajouté.

Bâtiment en béton brun

Le point de depart a Harvard University est le  8 octobre, au lendemain de l’attaque du Hamas et après les premiers bombardements israéliens.

Plus de trente groupes et clubs étudiants ont co-signe et ont diffuse sur le campus une lettre, qui dénonce « le régime d’apartheid d’Israël », « responsable de toutes les violences » qui façonnent « tous les aspects de la vie palestinienne depuis soixante-quinze ans ».
Ceci, sans faire mention des actes de barbarie des terroristes palestiniens du hamas.

La reaction du bureau de l’université publie un communiqué le 9 octobre, proposant « d’approfondir les connaissances » sur le conflit au nom de « notre humanité commune et de valeurs partagées », et soulignant « la peur, la tristesse, la colère » qui pouvaient parcourir les étudiants.

Suite a cette declaration de la direction d’Harvad, jugee trop laxiste, plusieurs elus  républicains Elise Stefanik et Ted Cruz, diplômé de la faculté de droit de Harvard, le démocrate Jake Auchincloss) appelant à une réaction ferme de la direction de l’université. Le campus s’enflamme aussi, avec un second texte, soutenu par des professeurs et plusieurs milliers d’étudiants, qualifiant le communiqué propalestinien de « complètement erroné et profondément offensant ». 

un grand bâtiment blanc avec des colonnes avec le musée Pouchkine en arrière-plan

Concernant MIT University, Les étudiants juifs du Massachusetts Institute of Technology affirment qu’ils ont été empêchés d’assister aux cours à cause d’un « blocus » d’étudiants hostiles à Israël et craignent que l’école ne soit « pas sûre pour les Juifs ».
« De nombreux étudiants juifs ont peur de quitter leur dortoir et ont déclaré qu’ils estimaient que le MIT n’était pas sûr pour les Juifs », poursuit la lettre.

« Ce message est aggravé par les avertissements publics et privés de Hillel [the school’s graduate Jewish community] et de nombreux professeurs que les étudiants juifs ne devraient pas entrer dans le hall principal du MIT aujourd’hui.»

Quatre heures après le début de la manifestation de la CAA, l’administration a demandé aux étudiants de quitter le hall et les a menacés de suspension – mais seuls les étudiants juifs qui étaient là pour contre-manifester sont partis, selon le groupe.

« En effet, la CAA a invité davantage d’étudiants et de manifestants non membres du MIT à se joindre à elle pour appeler à un soulèvement violent (« Intifada ») et justifier les attaques terroristes du Hamas contre des civils israéliens », a indiqué l’alliance.

Une heure plus tard, tous les étudiants ont reçu une notification d’urgence leur demandant d’éviter la zone, « reconnaissant officiellement le danger que représentent pour les étudiants cette violente manifestation ».Les faits sont d’une extreme gravite et la direction de MIT a reagi mollement.


La présidente du MIT, Sally Kornbluth, a déclaré dans un communiqué que les étudiants qui sont restés dans le hall 7 après qu’on leur ait demandé de partir seront sanctionnés mais pourront toujours assister aux cours.

“Parce que nous avons entendu par la suite de sérieuses inquiétudes concernant les conséquences collatérales pour les étudiants, telles que les problèmes de visa, nous avons décidé, à titre provisoire, que les étudiants restés après la date limite seront suspendus des activités non académiques sur le campus”, a déclaré Kornbluth.

« Les étudiants resteront inscrits au MIT et pourront suivre des cours académiques et des laboratoires. Nous soumettrons cette mesure provisoire à l’équipe ad hoc de réponse aux plaintes, qui comprend le président du comité de discipline, pour décision finale », a-t-elle poursuivi.

Suite a ces incidents d’une extreme gravite, les trois dirigeantes des universites de Penn Univerty, MIT University and Havard University ont ete comvoques par le congres Americain pour une sceance exceptionnelle le mardi 5 decembre.


Ces trois drigeantes des plus grandes universites dans le monde ont refuse de declarer clairement  que les appels au génocide du peuple juif contrevenaient aux règles sur le harcèlement en vigueur sur les campus.

Des que la républicaine de New York, Elise Stefanik, a demandé directement si « appeler au génocide des Juifs » allait à l’encontre des codes de conduite de l’université de Harvard, du Massachusetts Institute of Technology (MIT) et de l’université de Pennsylvanie (UPenn), les trois présidentes se sont refugiees derriere l’excuse du “contexte”.

Quadrangle

« C’est une décision qui dépend du contexte », a répondu la présidente de l’université de Pennsylvanie, Liz Magill. Ce à quoi Stefanik a rétorqué : « Appeler au génocide des Juifs dépend du contexte ? Il ne s’agit pas de harcèlement ? C’était la question la plus facile à laquelle il fallait répondre ‘Oui’, madame »


La Presidente Magill n’a pas été en mesure de dire si les slogans entonnés et répétés par les manifestants, l’un des slogans appelait à « l’Intifada »,  constituaient une incitation à la violence susceptible d’être sanctionnée par le règlement de l’université. Pendant la Seconde Intidafa, il y a deux décennies, les attentats terroristes palestiniens avaient fait environ 1000 morts du côté israélien.

« Ces slogans, je pense – les appels à l’Intifada, à la révolution globale – sont très perturbants », a répondu Magill alors qu’elle était interrogée. « Je pense que c’est, au minimum, un discours de haine qui doit être condamné et il l’a été. Quant à savoir s’il s’agit d’une incitation à la violence qui pourrait être sanctionnée au vu des directives mises en œuvre par l’université de Pennsylvanie et de la ville de Philadelphie, des règles qui ont été orientées par les Constitution des États-Unis, je pense qu’il s’agit là d’une question plus difficile. Les incitations à la violence relèvent d’une catégorie très étroite. »


Elle a aussi hésité lorsqu’il lui a été demandé quelles actions son université avait été capable de prendre avant un salon de littérature palestinienne controversé qui avait eu lieu sur son campus à l’automne, avant le 7 octobre, obligeant l’établissement d’enseignement supérieur à changer ses règles sur les intervenants invités lors de ce type d’événement. 


Les critiques avaient déploré que ces intervenants, avec parmi eux Roger Waters, ancien membre des Pink Floyd, avaient utilisé une terminologie appelant à la destruction d’Israël.

« Je pense qu’annuler cette conférence aurait été réellement incompatible avec la liberté académique et avec la liberté d’expression même si je trouve personnellement les propos de certains qui sont venus à ce salon très, très douteux en raison de leur nature antisémite », a-t-elle dit.

Gay n’a pas non plus clairement établi si les étudiants appelant « à l’Intifada » sur le campus de Harvard violaient le code de conduite de l’université.

« Ce type de propos haineux, dangereux, offensif est absolument odieux à mes yeux », a-t-elle affirmé. Mais lorsqu’il lui a été demandé si Harvard pourrait les sanctionner, elle a répondu de manière plus générale que « lorsque les discours franchissent les limites de nos politiques, et notamment de nos politiques portant sur le harcèlement ou l’intimidation, nous agissons et nous avons des procédures disciplinaires solides qui nous permettent de faire assumer leurs responsabilités aux contrevenants ».


Les trois présidentes ont toutes reconnu que l’antisémitisme était devenu un réel problème sur les campus et qu’il avait encore gagné en intensité depuis l’attaque meurtrière commise par le Hamas sur le sol israélien, le 7 octobre, et le début de la guerre qui oppose Israël au groupe terroriste dans la bande de Gaza.

Pamela Nadell

Prenant aussi la parole lors de l’audience, Pamela Nadell, professeure d’Histoire juive américaine à l’American University, qui avait été choisie par les démocrates pour témoigner au cours de la session.

« C’est devenu une mode pour un trop grand nombre de membres de notre communauté universitaires de haïr les Juifs », a dit Foxx aux présidentes dans son discours prononcé à la fin de la rencontre. « Nous allons observer de près ce qui se passe dorénavant et j’espère véritablement, pour le bien de toute notre nation, que vous serez à la hauteur de ce défi. »

La Maison Blanche est tres en colere colere contre ces universites Americaines et Andrew Bates, porte-parole de la Maison Blanche a declare: ” Nous venons d’assister au pire massacre subi par le peuple juif depuis la Shoah, les dernières atrocités d’un schéma déchirant et génocidaire qui remonte à des milliers d’années” et il ajoute “Il est incroyable que cela doive être dit : les appels au génocide sont monstrueux et contraires à tout ce que nous représentons en tant que pays », a-t-il assené.

« Toute déclaration prônant le meurtre systématique des Juifs est dangereuse et révoltante  et nous devrions tous nous y opposer fermement, du côté de la dignité humaine et des valeurs les plus fondamentales qui nous unissent en tant qu’Américains.
Le message est extremement clair.

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