Le plus grand scandale est la Nazification de l’ONU  

Actuality

L’Organisation des Nations Unies a été créée le 24 octobre 1945 à la suite de la signature de la Charte par la Chine, les États-Unis, la France, le Royaume-Uni, l’URSS et la majorité des autres pays signataires. 


L’ONU avait été initiée par le Président des États-Unis, Franklin D. Roosevelt, afin de plus voir un génocide comme celui de la Shoah et les six millions de Juifs déportés et assassines par les nazis.

Photographie de vue aérienne de la chambre

Pres de huit décennies, plus tard, le constat est désastreux, cet outil international qui avait pour mission de rapprocher les peuples, instaurer la paix dans des régions belliqueuses, s’interposer en force de paix dans des conflits sanglants, respecter et protéger le droit des femmes, des enfants et des peuples.

Éviter des guerres par la force de diplomatie, combattre la faim dans le monde, combattre la corruption, aider les pays en voie de développement, le respect des droits de l’homme.

Malheureusement, toutes ces belles missions sont, depuis plusieurs années, balayées par des maux qui devaient être combattus par des remèdes démocratiques et qui maintenant sont devenus l’emblème de la machine Onusienne. L’ONU est gangrenée par la corruption, les scandales se succèdent et la direction ne fait rien, les scandales comme l’affaire de John Ashe, ancien président de l’Assemblée générale de l’ONU, a été arrêté et sera poursuivi pour corruption. Il est accusé d’avoir accepté plus d’un million de dollars de pots-de-vin pour son aide à la réalisation de projets immobiliers.https://www.france24.com/fr/20151007-president-assemblee-generale-onu-accuse-corruption-john-ashe

Ainsi que le scandale de James Wasserstrom, l’Américain, supervisait le bureau de contrôle des entreprises d’utilité publique au Kosovo au moment des faits. 


Déployé depuis 2002 sur place, il reçoit en 2006 des informations indépendantes et concordantes de corruption au sommet du gouvernement kosovar, impliquant le chef de la mission Unmik, Joachim Rücker, son adjoint, Stephen Cook, et le responsable des affaires légales, Alexander Borg-Olivier. L’affaire porte sur 500 millions de dollars de pots-de-vin pour l’obtention de contrats.https://www.lefigaro.fr/international/2013/04/11/01003-20130411ARTFIG00649-l-onu-accusee-d-etouffer-les-scandales.php

Mais outre, tous ces scandales de corruption et, de, décider de donner la présidence des droits de l’Homme a l’Arabie ou aujourd’hui à l’Iran décrédibilisent toute l’image de l’ONU.


L’ONU est dirigée par les riches pays arabes et les pays Musulmans qui condamnent systématiquement l’État d’Israël. Depuis 1947, Israël a fait l’objet de plus de 50 résolutions et condamnations de l’ONU.


Depuis 1972, les États-Unis ont usé à quarante-trois reprises de leur droit de veto pour bloquer l’adoption de résolutions critiques envers Israël.


En 2022 seulement, Israël a battu tous les records en faisant l’objet de 15 résolutions de l’ONU, pendant que la Russie faisait l’objet de six résolutions, et ce, malgré la guerre entre cette dernière et l’Ukraine qui a débuté la même année et les 200,000 morts de cette guerre n Ukraine.

UN Women celebrated International Women’s Day by co-organizing a 5K Run in Addis Ababa, Ethiopia, March 2017. Photo: UN Women/Fikerte Abebe.

Photo: UN Women/Fikerte Abebe


Mais le plus grand scandale de l’ONU depuis sa création est le silence de l’association de l’UN Women, qui a attendu, deux longs mois pour condamner les attaques du hamas en Israël en déclarant : 

« Nous réaffirmons que toutes les femmes – les femmes israéliennes, les femmes palestiniennes, comme toutes les autres – ont droit à une vie vécue en sécurité et à l’abri de la violence », a déclaré l’organisation.

« Nous condamnons sans équivoque les attaques brutales du Hamas contre Israël le 7 octobre », a affirmé UN Women. « Nous sommes alarmés par les nombreux témoignages faisant état d’atrocités sexistes et de violences sexuelles lors de ces attaques. »

En analysant, leur déclaration, nous pouvons constater leur position abjecte vis-à-vis des femmes Juives qui ont dû subir les attaquesde ces terroristes palestiniens du hamas, ces derniers les ont violés, tortures, assassines, mutiles, ce sont des femmes Juives qui sontconcernées par ces attaques terroristes et non pas des Palestiniennes ou “toutes les autres”. Cette déclaration n’a aucun sens.UN women a attendu deux mois pour faire ce genre de déclaration, mais c’est une honte. 

Les témoignages des hommes et des femmes Juives sont dramatiques :


Yoni Saadon, 39 ans, qui a survécu au festival de la paix Supernova en se cachant sous des cadavres, se réveille maintenant la nuit, angoissé par les visages des femmes massacrées, dont l’une avait « le visage d’un ange ».

« Elle est tombée sur le sol, une balle dans la tête, et j’ai tiré son corps sur moi et étalé son sang sur moi pour donner l’impression que j’étais mort moi aussi »

« J’ai vu cette belle femme au visage d’ange et huit ou dix combattants qui la battaient et la violaient. La femme criait “arrêtez ça” et suppliait les terroristes de la tuer pour mettre fin à ses souffrances », a-t-il raconté.

« Quand ils ont fini, ils riaient et le dernier lui a tiré une balle dans la tête », a-t-il ajouté.

Yoni était caché dans des buissons et il a vu, deux autres combattants du hamas attraper une femme.

« Elle se débattait, les empêchant de la déshabiller », se souvient-il. « Ils l’ont jetée à terre et l’un des terroristes a pris une pelle et l’a décapitée. »

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C’est l’histoire d’Esther (le prénom a été changé), tombée entre les mains des soldats du hamas le 7 octobre. La jeune femme participait au festival de musique organisée dans le désert de Be’eri quand les terroristes palestiniens sont arrivés sur la rave party dans un déchaînement de violence sans retenue.

Pris de panique, son petit ami les a entraînées, elle et sa marraine, sous une bâche du bar de la rave party, pour passer inaperçus en faisant les morts. Malheureusement pour la jeune femme, les terroristes les ont débusqués. Commence alors un long calvaire. La jeune femme est violée et tabassée devant son copain, forcé de regarder avec un couteau sous la gorge. La jeune fille a également subi une série de mutilations.


Parce que ce sont des Juives, elles ont le droit d’être violées, d’être tuées, d’être violentées, cela dénote d’un racisme profond et l’UN Women a perdu tout son crédit, cette organisation ne représente plus rien, si ce n’est, son antijudaïsme exacerbé. Il faut que cette organisation soit sanctionnée comme toutes les autres d’ailleurs, car depuis le 7 octobre, le bilan des ONG est catastrophique.

Nous vous avons préparé un dossier complet de toutes les déclarations émises par les ONG affiliées a l’ONU et a l’ONU, elle-même et

le constat est accablant. L’ONU est devenue un organisme dédié à tous les antisémites de la terre et dont leur seule volonté est de détruire l’état d’Israël et de tuer tous les Juifs vivants sur la terre d’Israël.

L’ONU est une association fasciste, dominée par une ligne idéologique de ” my kampf” d’hitler et ce sont maintenant des officiers de la gestapo, corropus par l’argent du Qatar.

Il est indispensable de détruire cette pensée fascisante et de dissoudre l’ONU actuelle pour créer une nouvelle organisation Internationale constituée par des démocraties et que les états arabes et Musulmans créent leur propre organisation Internationales avec leurs amis chinois et Russes.

ONG internationales

Action Aid
Le 16 octobre, ActionAid a envoyé une lettre au président du Conseil européen Charles Michel, à la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen et au haut représentant de l’UE pour les affaires étrangères et la politique de sécurité Josep Borrel, les appelant à “rechercher une solution juste aux causes profondes qui ont conduit à l’escalade de la violence et à appliquer le droit international, notamment en ce qui concerne le blocus de Gaza et l’expansion des colonies israéliennes illégales dans les territoires palestiniens occupés, qui entraînent une violence quotidienne”.
Le 10 octobre, ActionAid a tweeté : “Alors que les habitants de Gaza subissent un blocus intense qui les prive de nourriture, d’électricité, d’eau et de carburant, nous sommes profondément inquiets de voir certains membres de l’UE remettre en question le programme d’aide vital de 690 millions d’euros destiné au peuple palestinien. Le moment est mal choisi pour réduire les fonds destinés à plus de deux millions de personnes en situation de crise humanitaire. Nous demandons instamment à l’UE de faire une pause et de repenser cette décision potentiellement catastrophique et de maintenir un financement vital pour les familles qui en ont le plus besoin”.
Le 8 octobre, ActionAid a publié une déclaration affirmant que “l’escalade de la situation met en évidence l’incapacité de la communauté internationale à résoudre l’occupation prolongée et le blocus de Gaza, soulignant le besoin urgent d’une solution durable conformément aux résolutions de l’ONU”.  

Amnesty International
Le 20 octobre, Amnesty International a publié un communiqué intitulé “Preuves accablantes de crimes de guerre : les attaques israéliennes éliminent des familles entières à Gaza”. Le communiqué cite la secrétaire générale d’Amnesty, Agnes Callamard, qui affirme que “depuis 16 ans, le blocus illégal d’Israël a fait de Gaza la plus grande prison à ciel ouvert du monde – la communauté internationale doit agir maintenant pour empêcher qu’elle ne devienne un cimetière géant”.
Le 20 octobre, Kristyan Benedict, responsable des campagnes d’Amnesty International au Royaume-Uni, a tweeté : “Les forces israéliennes et les colons soutenus par l’État poursuivent leurs crimes d’annexion et d’apartheid en Cisjordanie occupée, alors que l’attention se porte sur #Gaza.”
Le 18 octobre, Amnesty a tweeté : “Nous demandons au président Biden de s’attaquer aux injustices et à l’impunité qui sont à l’origine de la crise actuelle, afin que les Palestiniens et les Israéliens puissent jouir des droits de l’homme dans la paix et la sécurité. Le président Biden doit également cesser de soutenir sans réserve les actions d’Israël à Gaza et dans les territoires palestiniens occupés.
Le 17 octobre, Amnesty a tweeté : “Le gouvernement français a interdit toutes les manifestations de soutien aux droits des Palestiniens. Il s’agit d’une attaque grave et disproportionnée contre le droit de manifester. En vertu du droit international, l’interdiction de manifester ne doit être envisagée qu’en dernier recours.”
Le 15 octobre, Amnesty a tweeté : “Il s’agit là d’une nouvelle illustration brutale du fait que les civils de Gaza n’ont nulle part où aller en toute sécurité. Ils craignent de mourir, qu’ils partent ou non. L’ordre d’évacuation donné par Israël n’est pas conforme au droit international humanitaire et doit être annulé. Les civils doivent avoir accès à la sécurité, aux soins médicaux et à l’aide.
Le 14 octobre, Agnès Callamard a tweeté : “#Gaza : Tant de vies déjà perdues. Tant d’autres sont en danger alors qu’Israël annonce une offensive globale. Les massacres de civils doivent cesser. L’humanité et la clarté morale doivent prévaloir. De nombreux membres de la communauté internationale se sont exprimés. Les États-Unis et l’Union européenne sont restés silencieux. Ils doivent agir maintenant.
Le 13 octobre, Amnesty a publié une déclaration intitulée “L’ordre d’évacuation de Gaza doit être annulé immédiatement par Israël”, affirmant que “l’ordre donné par l’armée israélienne aux habitants du nord de Gaza et de la ville de Gaza d’évacuer vers le sud de la bande de Gaza ne peut être considéré comme un avertissement efficace et peut équivaloir à un déplacement forcé de la population civile, ce qui constitue une violation du droit international humanitaire… Les civils de Gaza ne doivent pas être utilisés comme des pions politiques et leur vie ne peut pas être dévalorisée…”. La communauté internationale doit également s’abstenir de légitimer davantage le blocus illégal imposé par Israël depuis 16 ans et mettre immédiatement un terme au transfert d’armes susceptibles d’être utilisées pour commettre des attaques illégales… Alors que de nombreux Palestiniens du nord de Gaza tentent de fuir, d’autres ont déclaré à Amnesty International qu’ils choisissaient de rester de peur que cela ne devienne une “seconde Nakba”, le traumatisme générationnel du déplacement étant gravé dans la mémoire collective de nombreux habitants de Gaza…..
Le 13 octobre, Amnesty a tweeté : “Le Crisis Evidence Lab d’Amnesty a vérifié que les unités militaires israéliennes qui frappent Gaza sont équipées d’obus d’artillerie au phosphore blanc. Nous enquêtons sur ce qui semble être l’utilisation de phosphore blanc à Gaza, notamment lors d’une frappe près d’un hôtel sur la plage de la ville de Gaza…”
Le 12 octobre, Amnesty a tweeté : “La fermeture de la seule centrale électrique de Gaza va exacerber une crise humanitaire déjà désespérée pour plus de 2,2 millions de personnes prises au piège dans la bande de Gaza. Israël doit lever le blocus illégal et inhumain imposé à Gaza alors que la centrale électrique est à court de carburant”.
Le 12 octobre, Amnesty International a publié un communiqué affirmant que “les dernières attaques en Israël doivent être considérées dans le contexte plus large de la situation en Israël et dans les territoires palestiniens occupés. Mais Amnesty International réaffirme dans les termes les plus forts que rien ne peut justifier les crimes de guerre. Il est urgent de s’attaquer aux injustices et aux violations qui figurent parmi les causes profondes de cette violence. Les civils continueront à payer un lourd tribut tant qu’Israël n’aura pas démantelé son système d’apartheid contre les Palestiniens, notamment en mettant fin au blocus illégal de Gaza.
Le 11 octobre, Amnesty a tweeté : “Si l’on ne s’attaque pas aux causes profondes de cette violence, notamment l’impunité pour les crimes de guerre commis par toutes les parties et le système d’apartheid imposé par Israël aux Palestiniens, les civils continueront à en payer le prix”.
Le 9 octobre, la directrice principale de la recherche, du plaidoyer, de la politique et des campagnes, Erika Guevara Rosas, a tweeté : “#Israël : La punition collective est un crime de guerre. L’utilisation de la famine comme arme de guerre est également un crime de guerre. La communauté internationale doit dénoncer ces appels odieux avec la plus grande fermeté.”
Le 7 octobre, Amnesty a publié un communiqué de presse affirmant que “les causes profondes de ces cycles de violence répétés doivent être traitées de toute urgence. Il faut pour cela faire respecter le droit international et mettre fin au blocus illégal qu’Israël impose à Gaza depuis 16 ans, ainsi qu’à tous les autres aspects du système d’apartheid israélien imposé à tous les Palestiniens. Le gouvernement israélien doit s’abstenir d’inciter à la violence et aux tensions en Cisjordanie occupée, y compris à Jérusalem-Est, en particulier autour des sites religieux. Amnesty International appelle la communauté internationale à intervenir de toute urgence pour protéger les civils et empêcher de nouvelles souffrances. En 2021, la Cour pénale internationale a ouvert une enquête sur la situation dans l’État de Palestine. Son mandat inclut les crimes de droit international commis par toutes les parties dans les combats actuels, ainsi que le crime contre l’humanité de l’apartheid à l’encontre des Palestiniens”.
Le 7 octobre, Agnès Callamard, secrétaire générale d’Amnesty International, a publié un fil de discussion sur X (anciennement Twitter) :

Association des agences de développement international (AIDA)

Le 14 octobre, l’AIDA a publié une déclaration affirmant que “la réinstallation forcée, sans garantie de sécurité ou de retour et l’absence de réponse aux besoins de la population protégée, soulèvent des inquiétudes importantes quant à un potentiel transfert forcé, constituant une grave violation du droit international humanitaire, assimilable à un crime de guerre”.
Le 12 octobre, AIDA a publié une déclaration : “Depuis des années, AIDA met en garde contre l’impact cruel du blocus sur la population de la bande de Gaza et le risque de violence qu’il engendre. Cette crise horrible souligne brutalement la nécessité d’une résolution pacifique et durable de l’occupation militaire prolongée des territoires palestiniens occupés (TPO) et du blocus de Gaza qui dure depuis 17 ans.”

Human Rights Watch (HRW)

Le 9 octobre, HRW a publié un communiqué de presse et les questions-réponses qui l’accompagnent, affirmant que “la coupure de l’électricité à Gaza par les autorités israéliennes et d’autres mesures punitives à l’encontre de la population civile de Gaza équivaudraient à une punition collective illégale, ce qui constitue un crime de guerre. Les lois de la guerre s’appliquent à toutes les parties à un conflit, indépendamment de la légalité de leur entrée en guerre ou du déséquilibre des forces entre les parties. L’oppression systématique du gouvernement israélien dans le TPO, associée aux actes inhumains commis contre les Palestiniens dans le cadre d’une politique visant à maintenir la domination des Israéliens juifs sur les Palestiniens, constituent des crimes contre l’humanité d’apartheid et de persécution, comme Human Rights Watch l’a déjà constaté.”

Tweets de Sari Bashi, directrice de programme à HRW
Le 21 octobre, Omar Shakir a tweeté : “Alors que quelques camions d’aide sont entrés par l’Égypte, Israël maintient ses points de passage vers Gaza fermés et refuse d’actionner l’interrupteur pour l’eau et l’électricité. Il n’y a aucune excuse pour refuser l’eau, la nourriture et les médicaments à plus de 2,2 millions de personnes. C’est un crime de guerre. Il faut y mettre fin. Des vies sont en jeu. @hrw”
Le 21 octobre, Lama Fakih, directeur de Human Rights Watch pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, a tweeté : “Si les États occidentaux prennent au sérieux les droits de l’homme et les lois de la guerre, les principes qu’ils appliquent aux atrocités russes en Ukraine et aux atrocités du Hamas en Israël, ils doivent également les appliquer au mépris brutal d’Israël pour la vie des civils à Gaza”.
Le 21 octobre, M. Roth a tweeté : “La discrimination oppressive que le gouvernement israélien impose à des millions de Palestiniens dans les territoires occupés – l’apartheid – ne commence pas à être justifiée par des préoccupations de sécurité. Il s’agit de domination, d’accaparement de terres et d’ingénierie démographique”.
Le 19 octobre, Tirana Hassan, directrice exécutive de Human Rights Watch, a tweeté : “Les États-Unis devraient s’inspirer de leurs propres erreurs et rappeler à Israël que “la violation des lois de la guerre a des conséquences morales, juridiques et pratiques qui dureront bien au-delà de la fin des combats”. La protection des civils doit être primordiale. @YagerSarahH”
Le 18 octobre, HRW a publié une déclaration appelant Israël à “mettre immédiatement fin au blocus total de la bande de Gaza qui met gravement en danger les enfants palestiniens et d’autres civils… La punition collective de la population est un crime de guerre”.
Le 16 octobre, lors d’un événement organisé par Chatham House, Omar Shakir, directeur de HRW pour Israël et la Palestine, a déclaré : “La rhétorique du gouvernement israélien est très claire. Il fait part de son intention criminelle de commettre des atrocités à grande échelle. Nous assistons à une descente aux enfers sans précédent, et les dirigeants du monde entier doivent agir avant qu’il ne soit trop tard.”
Le 16 octobre, Roth a tweeté : “Pour comprendre pourquoi le gouvernement israélien pourrait vouloir nettoyer ethniquement les Palestiniens de Gaza vers l’Égypte, il est utile de comprendre la politique de longue date d’Israël en matière d’ingénierie démographique, rendue plus urgente par la “réalité d’un seul État” créée par ses colonies”.
Le 16 octobre, Omar Shakir, directeur de HRW pour Israël et la Palestine, a tweeté : “De nouveaux propos incendiaires de la part de responsables israéliens appelant à ce que toute la population de Gaza – plus de 2,2 millions de personnes, dont la moitié sont des enfants – soit punie collectivement. C’est la preuve d’une intention criminelle. Les dirigeants mondiaux doivent agir pour empêcher les atrocités à grande échelle avant qu’il ne soit trop tard”.
Le 15 octobre, dans une interview accordée à MSNBC, Sari Bashi, directrice de programme de HRW, a déclaré : “C’est l’essence même de l’apartheid – c’est la domination raciale, c’est la discrimination”.
Le 16 octobre, HRW a publié une déclaration et les questions-réponses qui l’accompagnent, écrivant que “les crimes de guerre commis par l’une des parties ne justifient pas les crimes de guerre commis par l’autre”. Vendredi, l’armée israélienne a ordonné à plus d’un million de personnes, soit la moitié de la population, de quitter le nord de Gaza dans les 24 heures, en prévision d’une opération militaire terrestre imminente. Bien que le délai initial ait été dépassé, cet ordre soulève de sérieux problèmes juridiques et humanitaires, et fait craindre pour la sécurité des civils… De telles mesures constituent une forme de punition collective, qui est un crime de guerre et qui est interdite par la quatrième Convention de Genève…”.

Le 16 octobre, Ken Roth a tweeté : “Le “droit international humanitaire” n’est pas concocté par les groupes de défense des droits de l’homme. Ses règles sont acceptées par tous les gouvernements, y compris celui d’Israël – il ne s’agit pas simplement d’une chose agréable à faire, mais d’une obligation, même lorsque les choses deviennent difficiles, même lorsque le peuple d’une nation est massacré.”
Le 16 octobre, HRW a tweeté : “‘La rhétorique du gouvernement israélien a été très claire’, dit @OmarSShakir. Ils signalent une intention criminelle de commettre des atrocités à grande échelle. Nous assistons à une descente sans précédent dans les ténèbres, et les dirigeants du monde entier doivent agir avant qu’il ne soit trop tard.
Le 16 octobre, M. Roth a tweeté : “Hasan Alhasan, un expert du Moyen-Orient, a demandé s’il existait une stratégie militaire viable autre qu’un nettoyage ethnique total de Gaza qui conduirait à une défaite permanente du Hamas. Est-ce le plan ?”
Le 15 octobre, Omar Shakir, directeur de HRW pour Israël et la Palestine, a tweeté : “Les autorités israéliennes signalent leur intention de commettre des atrocités de masse. Il faut les arrêter… Ils [les Israéliens] veulent se venger, utilisent un langage incendiaire et suggèrent que toute la population de Gaza – plus de 2,2 millions de personnes, dont la moitié sont des enfants – devrait être punie collectivement… L’armée israélienne partage publiquement des images de blocs et de quartiers entiers de Gaza réduits en ruines – des actes qui pourraient constituer des crimes de guerre… L’histoire nous enseigne que, lorsqu’il y a des appels clairs à commettre des atrocités à grande échelle par une partie capable de le faire et des actions prises en accord avec ces mots, ils doivent être pris au sérieux et stoppés. Voilà où nous en sommes aujourd’hui en Israël et en Palestine. Une descente dans les ténèbres…”
Le 15 octobre, Ken Roth a tweeté : “En tant qu’ambassadrice des États-Unis à l’ONU, Nikki Haley a apporté un soutien inconditionnel à Israël, sans tenir compte de ses crimes de guerre et de son apartheid. Aujourd’hui, en tant que candidate à la présidence, elle redouble d’efforts dans le même sens.”
Le 14 octobre, Omar Shakir, directeur de HRW pour Israël et la Palestine, a tweeté : “Les autorités israéliennes signalent leur intention de commettre des atrocités de masse. Elles doivent être stoppées”.
Le 13 octobre, Sari Bashi a publié un article intitulé “Nulle part où aller à Gaza”, dans lequel il écrit : “Le fait que les combattants du Hamas aient commis des crimes de guerre inqualifiables ne donne pas à l’armée israélienne la permission de faire fi de ses obligations envers les civils de Gaza. L’annonce de l’évacuation risque d’entraîner des déplacements forcés massifs… après que les autorités israéliennes ont coupé l’approvisionnement en carburant, en eau, en nourriture et en électricité à Gaza dans ce qui s’apparente à une forme de punition collective – elle-même un crime de guerre… L’ordre d’évacuation d’Israël a touché une corde particulièrement sensible pour les 70 % des habitants de Gaza qui sont déjà des réfugiés – ayant fui leurs maisons dans ce qui est aujourd’hui Israël en 1948 – et pour leurs descendants. Ils n’ont jamais été autorisés à revenir. Ce refus de leur droit au retour est l’une des causes profondes de la violence actuelle”.
Le 13 octobre, M. Roth a tweeté : “Bush a l’audace de donner des conseils à M. Netanyahou alors même qu’il a transformé le 11 septembre en excuse pour la torture et les crimes de guerre. Netanyahou se dirige peut-être vers la même voie, mais il serait sage d’apprendre de Bush ce qu’il ne faut PAS faire”.
Le 12 octobre, HRW a publié une déclaration et des questions-réponses accusant Israël d’avoir utilisé du phosphore blanc à Gaza. Les autorités israéliennes ont coupé l’électricité, l’eau, le carburant et la nourriture à Gaza, en violation de l’interdiction du droit humanitaire international contre les punitions collectives, exacerbant la situation humanitaire désastreuse résultant de plus de 16 ans de bouclage israélien”.
Le 11 octobre, M. Roth a publié un article affirmant qu'”Israël avait toutes les raisons de répondre militairement à l’attaque atroce du Hamas contre ses civils. Mais une bonne raison de se battre n’est pas une raison de violer les règles qui régissent ce combat. Si le gouvernement israélien réagit au moment du 11 septembre par une indifférence semblable à celle de George W. Bush à l’égard de ces règles, il suivra bientôt l’itinéraire de son gouvernement, qui est passé de la sympathie mondiale à l’indignation mondiale. J’espère seulement que la perspective d’une telle trajectoire le fera réfléchir”. En outre, M. Roth a déclaré : “Nous entendons déjà le refrain habituel, à savoir que le Hamas est responsable de la perte de vies civiles parce qu’il utilise des civils comme “boucliers humains”. Mais le terme “bouclier” fait référence à l’utilisation délibérée de la présence de civils pour empêcher une attaque, et non à de simples combats menés depuis des zones urbaines, surtout lorsque c’est le cas d’une grande partie de la bande de Gaza”.
Le 11 octobre, M. Roth a tweeté un article intitulé “Hubris meets nemesis in Israel”, citant : “En excluant tout processus politique en Palestine et en affirmant audacieusement que “le peuple juif a un droit exclusif et inaliénable sur toutes les parties de la Terre d’Israël”, le gouvernement fanatique du Premier ministre Binyamin Netanyahou a rendu l’effusion de sang inévitable”.
Le 11 octobre, Roth a tweeté : “L’approche laxiste du procureur de la Cour pénale internationale @KarimKhanQC à l’égard de l’enquête ouverte sur les crimes de guerre en Palestine a favorisé une atmosphère d’impunité qui accroît aujourd’hui la probabilité de crimes de guerre de plus en plus nombreux.”
Le 11 octobre, Akshaya Kumar, directeur du plaidoyer de crise de HRW, a publié une déclaration affirmant que “les autorités israéliennes, la puissance occupante de Gaza en vertu du droit international, ont le devoir de veiller à ce que les besoins fondamentaux de la population soient satisfaits. Au lieu de cela, depuis 2007, elles gèrent Gaza comme une “prison à ciel ouvert”, imposant des restrictions draconiennes à la circulation des personnes et des biens. À la suite des attaques du week-end, les autorités referment encore davantage les murs de cette prison”.
Le 10 octobre, Omar Shakir, directeur de HRW pour Israël et la Palestine, a tweeté : “Nous enquêtons. Rien ne peut justifier de telles atrocités, pas plus qu’elles ne peuvent justifier les atrocités commises à Gaza.”
Le 10 octobre, Ken Roth a tweeté : “Nous devrions pouvoir convenir que les meurtres et les enlèvements de civils par le Hamas sont des crimes de guerre sans oblitérer la profonde frustration des Palestiniens face au “processus de paix” moribond, à l’échec de la “solution à deux États”, à l’abandon sans fin de l’apartheid”.
Le 10 octobre, HRW a publié une déclaration de Sari Bashi affirmant que “suite à l’assaut, l’armée israélienne a lancé une campagne de bombardements massifs sur la bande de Gaza. Près de 700 Palestiniens ont été tués, dont 140 enfants, à la date du 9 octobre, selon le ministère de la santé à Gaza. Les autorités israéliennes ont également coupé illégalement l’électricité aux 2,2 millions d’habitants de Gaza et réduit l’approvisionnement en eau, exacerbant ainsi l’impact du bouclage illégal de Gaza par Israël depuis plus de 16 ans et ses crimes d’apartheid et de persécution contre les Palestiniens”.
Le 10 octobre, Omar Shakir a tweeté : “Breaking : Le bureau du procureur de la @IntlCrimCourt s’exprime, précisant que les ‘crimes commis dans le contexte actuel’ relèvent de son mandat, qu’il recueille des informations dans le cadre de son enquête officielle sur les crimes graves commis en Palestine et qu’il encourage les victimes à se manifester”.
Le 10 octobre, Andrew Stroehlein, directeur des médias et de la rédaction pour l’Europe, a tweeté : “Leurs atrocités ne justifient pas les vôtres. La brutalité de leurs crimes de guerre ne diminue pas la brutalité de vos crimes de guerre”.
Le 9 octobre, le directeur associé du programme, Fred Abrahams, a tweeté : “Le ministre israélien de la Défense ordonne un siège total de Gaza, sans électricité, sans nourriture, sans eau, sans carburant. Les lois de la guerre sont claires : les parties doivent permettre et faciliter le passage rapide et sans entrave de l’aide humanitaire distribuée de manière impartiale à une population dans le besoin. Avec un langage grossier et déshumanisant pour justifier l’étouffement et la punition collective d’une population depuis longtemps sous occupation et sous contrôle”.
Le 9 octobre, HRW a tweeté : “C’est odieux. C’est un appel à commettre un crime de guerre de la part de @yoavgallant. La @IntlCrimCourt devrait en prendre note”.
Le 9 octobre, Omar Shakir, directeur de HRW pour Israël et la Palestine, a tweeté : “C’est odieux. Priver une population occupée de nourriture et d’électricité est une punition collective – un crime de guerre – tout comme l’utilisation de la famine comme arme de guerre. Cela met en péril la vie de 2,2 millions de Palestiniens qui vivent sous le blocus écrasant et illégal d’Israël. La @IntlCrimCourt devrait en prendre note”.
Le 9 octobre, Shakir a tweeté : “Les meurtres de centaines d’Israéliens et de Palestiniens au cours des dernières 72 heures reflètent un mépris flagrant du droit international de la part de tous. Tant qu’il y aura de l’impunité, que Gaza restera une prison à ciel ouvert et que l’apartheid israélien ne sera pas démantelé, l’effusion de sang et la répression se poursuivront.”
Le 9 octobre, M. Roth a tweeté : “Le large soutien dont bénéficie aujourd’hui le Hamas dans tout le Moyen-Orient, malgré ses crimes de guerre, reflète le mécontentement populaire face aux accords de normalisation qui contournent les droits des Palestiniens condamnés à vivre sous l’apartheid.”
Le 9 octobre, M. Roth a tweeté : “Comme lors de la dernière guerre à Gaza, l’armée israélienne détruit à nouveau de grandes tours d’habitation – quatre jusqu’à présent. Toute allégation d’un ‘bureau du Hamas’ ou autre ne justifie pas l’effet massivement disproportionné sur les maisons des gens. #WarCrimes”.
Fédération internationale des droits de l’homme (FIDH)
Le 13 octobre, la FIDH a publié un communiqué dans lequel elle se dit “choquée et horrifiée par les vidéos et les rapports faisant état de meurtres aveugles de civils par Israël et de la destruction massive de quartiers entiers dans la bande de Gaza… La FIDH condamne l’agression israélienne comme un acte épouvantable de représailles et de violence brute.”
Le 11 octobre, la FIDH a publié une déclaration affirmant que “le cycle de la violence est le résultat prévisible de l’occupation illégale et du régime d’apartheid d’Israël qui dure depuis trop longtemps malgré les appels et les avertissements lancés par les organisations de défense des droits de l’homme et les mécanismes des Nations Unies”. La déclaration appelle également Israël à “mettre fin à la colonisation, au régime d’apartheid et aux politiques d’annexion imposées au peuple palestinien, qui sont les causes profondes des vagues continues de conflit dans le territoire”.
Le 8 octobre, la FIDH a retweeté la déclaration d’Al-Haq, d’Al Mezan et du PCHR (voir ci-dessous), en écrivant : “La FIDH condamne fermement tous les actes de violence et de vengeance en #Israël et en #Palestine. Toutes les parties doivent donner la priorité à la protection des civils. Une action urgente est nécessaire pour obtenir un cessez-le-feu et s’attaquer aux causes profondes de cette dernière escalade militaire.”

Médecins Sans Frontières (MSF)

Le 21 octobre, MSF a publié un message sur Twitter : “Le nombre de camions autorisés à livrer de l’aide à Gaza par le point de passage de Rafah le 21 octobre est totalement insuffisant par rapport aux besoins désespérés de la population, qui subit un siège total et des bombardements incessants depuis deux semaines.”
Le 14 octobre, MSF a publié un communiqué appelant “les autorités israéliennes à faire preuve d’humanité….L’armée israélienne bombarde sans retenue la bande de Gaza depuis une semaine, nous appelons à faire preuve de l’humanité la plus élémentaire”.
Le 13 octobre, MSF a tweeté : “L’avis israélien de 24 heures selon lequel les habitants du nord de Gaza doivent quitter leurs terres, leurs maisons et leurs hôpitaux est scandaleux – il s’agit d’une attaque contre les soins médicaux et l’humanité. Nous avons toujours vu des propos déshumanisants et cette violence en est la manifestation”.
Le 10 octobre, MSF a publié une déclaration affirmant que “la déclaration de guerre ne doit en aucun cas conduire à une punition collective de la population de Gaza. Couper l’approvisionnement en eau, en électricité et en carburant est inacceptable, car cela punit l’ensemble de la population et la prive de ses besoins fondamentaux.”
Le 8 octobre, MSF a publié une déclaration appelant “toutes les parties à respecter le caractère sacré des installations médicales, des véhicules et du personnel”. Selon Darwin Diaz, coordinateur médical de MSF à Gaza, “les ambulances ne peuvent pas être utilisées en ce moment parce qu’elles sont touchées par les frappes aériennes”.
Le 7 octobre, MSF a tweeté : “Suite à l’escalade entre Israël et Gaza, les forces israéliennes ont frappé l’hôpital indonésien de l’enclave et une ambulance devant l’hôpital Nasser dans le sud de Gaza. Les frappes ont tué une infirmière et un ambulancier, en ont blessé plusieurs et ont endommagé une station d’oxygène… Nous soutenons les deux hôpitaux depuis 2021 et 2011 respectivement. Les établissements de santé ne peuvent pas devenir des cibles. Nous demandons à toutes les parties de respecter les infrastructures de santé, qui doivent rester un sanctuaire pour les personnes en quête de soins… L’ampleur de ce nouveau cycle d’hostilités ne doit pas être sous-estimée, les autorités palestiniennes et israéliennes faisant état de pertes massives partout en Israël et à Gaza.”

Conseil norvégien pour les réfugiés

Le 13 octobre, le NRC a publié un communiqué de presse demandant que “l’ultimatum israélien à Gaza soit annulé”. Selon le communiqué de presse, “la perte de vies civiles causée par des actes délibérés ou indus est un crime contre l’humanité”.

Oxfam

Le 13 octobre, Oxfam a publié un communiqué de presse affirmant que “le monde peut voir que cet ordre d’évacuation est à la fois totalement inhumain et impossible ; le gouvernement israélien doit l’annuler immédiatement… Il incombe à Israël de respecter le droit humanitaire international ; il doit faire la distinction entre les cibles militaires et civiles. Nous lui demandons d’annuler immédiatement cet ordre et d’autoriser l’entrée de l’aide humanitaire à Gaza”.
Le 10 octobre, Oxfam a publié un communiqué de presse affirmant que “la décision du gouvernement israélien de mettre en place un “siège total”, en plus du blocus en cours, privera encore davantage les civils de Gaza des éléments essentiels tels que la nourriture, l’eau et l’électricité. Il s’agit d’une punition collective infligée à une population qui ne porte aucune responsabilité dans les violences et qui est illégale au regard du droit international. Il ne contribuera pas à la paix et à la sécurité, mais attisera au contraire les flammes de cette crise”.
Le 9 octobre, à la suite d’informations selon lesquelles l’UE mettrait fin à son aide aux Palestiniens, Oxfam a publié un communiqué de presse déclarant : “La simple perspective de suspendre l’aide n’est pas seulement alarmante, elle est aussi inacceptable. La suspension de l’aide sera une punition collective qui mettra en danger la vie d’innombrables Palestiniens. L’engagement de l’Europe à fournir de l’aide à ceux qui en ont besoin ne doit jamais faiblir. C’est précisément l’absence d’action politique décisive qui a perpétué ce cycle sans fin de violence et de représailles, plaçant les civils entre deux feux”.
Le 7 octobre, dans un communiqué de presse publié par Oxfam, le directeur national par intérim pour le territoire palestinien occupé et Israël, Mustafa Tmaizi, a déclaré : “Oxfam demande instamment à toutes les parties de cesser immédiatement toutes les offensives militaires et de faire preuve de retenue afin d’éviter une nouvelle escalade de la violence qui ne fera que nuire aux civils innocents des deux côtés. Cette escalade militaire souligne l’incapacité persistante des dirigeants à s’attaquer à l’occupation prolongée et au blocus de Gaza, sans qu’aucune mesure significative ne soit prise.”
Samidoun
Le 15 octobre, Samidoun a tweeté : “Tout le problème est qu'”Israël” défend “ses valeurs”, c’est-à-dire le colonialisme, le génocide, la mort et la dépossession des Palestiniens. Ce sont en fait les ‘valeurs’ du sionisme qui sont défendues ici, et les ‘valeurs’ pour lesquelles toutes les puissances impérialistes font allégeance”.
Le 12 octobre, Samidoun a publié une déclaration : “Les Palestiniens de Gaza sont confrontés à une guerre ouvertement génocidaire menée par le régime d’occupation israélien… L’État allemand et toutes les puissances impérialistes, à l’instar du président américain Biden, sont partenaires non seulement de la diffamation et de la déshumanisation du peuple palestinien, mais aussi des crimes de guerre meurtriers et des crimes contre l’humanité du régime d’occupation… …. La résistance palestinienne est le véritable représentant du peuple palestinien, le seul bouclier pour défendre le peuple et sa terre face aux crimes de guerre du régime d’occupation, à la complicité des États réactionnaires arabes et à l’implication totale des puissances impérialistes occidentales, y compris l’Allemagne, dans le ciblage et la destruction de la vie et de l’existence des Palestiniens. La volonté du peuple palestinien de vivre en liberté, de résister à l’occupant et d’obtenir ses droits ne sera pas anéantie par des bombardements meurtriers ou par la répression politique allemande” (c’est nous qui soulignons).
Le 10 octobre, à la suite d’un rassemblement, Samidoun Seattle a publié une déclaration selon laquelle “les manifestants ont montré leur soutien à l’opération réussie de résistance au déluge d’Al Aqsa et ont condamné les frappes de représailles sionistes contre les civils palestiniens à Gaza et 75 ans d’oppression, de nettoyage ethnique et de colonialisme de peuplement… Samidoun Seattle affirme que le droit des Palestiniens à la résistance, le droit à l’autodétermination et le droit à leur terre ne sont pas négociables” (emphase ajoutée).
Le 10 octobre, Samidoun a tweeté : “Les forces d’occupation poursuivent leurs attaques génocidaires contre le peuple palestinien à Gaza, tandis que la résistance palestinienne continue de lutter pour la victoire et la libération”.
Le 9 octobre, Samidoun était l’un des groupes qui ont lancé l’appel à la solidarité avec le courageux peuple de Palestine dans les rues de New York.
Le 9 octobre, Samidoun a partagé une déclaration du Haut Comité National du Mouvement des Prisonniers Palestiniens affirmant : “Nous affirmons notre grande confiance dans la résistance palestinienne, qui restera une barrière impénétrable face à l’ennemi”.
Le 8 octobre, Samidoun a tweeté : “NY @GovKathyHochul tente de stigmatiser et d’intimider les manifestants au rassemblement de NYC pour la justice et la libération en Palestine. Soyons aussi nombreux que possible et envoyons un message clair, du bureau du gouverneur à la Palestine. Times Square/1 pm/Broadwayx42nd”.
Le 7 octobre, Samidoun a publié un communiqué de presse déclarant que la “Résistance s’élève vers la révolution, le retour et la libération”. Selon le communiqué de presse, “Alors que la résistance palestinienne affronte les forces d’occupation, il est essentiel que les internationalistes du monde entier s’expriment, se mobilisent et agissent pour confronter le système impérialiste dirigé par les États-Unis, y compris les États de l’UE, la Grande-Bretagne et toutes les puissances complices, afin de mettre fin à leurs crimes continus contre le peuple palestinien, et de défendre la résistance. Ces crimes se reflètent non seulement dans la Déclaration Balfour et les 3,8 milliards de dollars d’aide militaire américaine annuelle au régime d’occupation, mais aussi dans les attaques racistes contre le peuple palestinien en exil et en diaspora dans toute l’Europe, et en particulier en Allemagne, parce qu’il s’exprime et s’organise pour assumer son rôle dans la cause, pour son retour en Palestine et la libération de sa terre”.
Le 7 octobre, Samidoun Deutschland a tweeté : “Longue vie à la résistance du peuple palestinien. Distribution de bonbons sur la Sonnenallee à Berlin pour célébrer la victoire de la résistance”.
Le 7 octobre, Samidoun Deutschland “distribuait des bonbons et exprimait sa joie pour l’attaque terroriste du Hamas et le meurtre d’Israéliens”.


Save the Children


Le 8 octobre, Save the Children a publié un communiqué de presse affirmant que “les rapports faisant état d’enfants palestiniens tués et blessés lors de frappes aériennes et d’enfants israéliens enlevés et pris en otage ont exacerbé les craintes d’un bilan psychologique sans précédent. Save the Children condamne la violence, affirmant que l’ampleur des attaques en Israël et à Gaza cause des dommages qui perdureront longtemps après la crise immédiate”.
Le 7 octobre, Jason Lee, directeur national de Save the Children pour les territoires palestiniens occupés, a publié une déclaration indiquant que “suite à l’escalade de la violence entre les groupes armés palestiniens et les forces israéliennes en Israël et à Gaza aujourd’hui, nos équipes et leurs familles se préparent à ce qui va suivre. Nous savons par expérience que les enfants seront terrifiés. Des enfants ont été tués et blessés lors de chaque escalade majeure, sans parler des graves répercussions sur leur santé mentale – ils n’en sont jamais sortis indemnes. Toutes les parties doivent faire preuve de retenue et s’attacher à assurer la sécurité des enfants et des familles et à mettre fin à la peur et à la souffrance qu’ils endurent depuis bien trop longtemps.”

Commission indépendante des droits de l’homme

Le 21 octobre, la Commission indépendante des droits de l’homme a publié une déclaration “mettant en garde contre le danger imminent de nouvelles atrocités commises par l’occupation israélienne contre des civils innocents et des infrastructures civiles essentielles”. La déclaration appelle également les Nations unies à “assumer leurs responsabilités et à prendre des mesures rapides et résolues pour dissuader l’occupation israélienne de perpétrer de nouveaux massacres contre des civils innocents”.
Le 11 octobre, l’ICHR a envoyé une lettre au procureur de la Cour pénale internationale demandant : “À la lumière de la crise humanitaire imminente à Gaza, nous demandons d’urgence une déclaration préventive de votre bureau concernant les crimes de guerre commis par Israël”.
Le 10 octobre, l’ICHR a partagé la déclaration du Réseau arabe des institutions nationales des droits de l’homme “condamnant les actes inhumains perpétrés par les forces d’occupation israéliennes contre les civils palestiniens à Gaza, y compris les meurtres, les bombardements et la destruction des maisons, des bâtiments résidentiels et des institutions civiles”.
Le 9 octobre, l’ICHR a envoyé une lettre au rapporteur spécial des Nations unies sur la situation des droits de l’homme dans les territoires palestiniens occupés depuis 1967, Francesca Albanese, à la Commission d’enquête internationale indépendante des Nations unies sur le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est, et Israël, et à d’autres rapporteurs spéciaux des Nations unies, leur demandant de “prendre tous les moyens pour faire pression sur Israël, la puissance occupante, afin qu’il cesse ses attaques militaires contre Gaza et sa population civile, et qu’il mette fin aux violations du droit international”. Selon la lettre, “depuis le 7 octobre 2023, lorsque les factions palestiniennes de Gaza ont lancé l’opération “Tempête Al-Aqsa” visant les colonies proches de Gaza, Israël a répondu par d’intenses attaques de missiles de représailles sur des zones densément peuplées… Les causes profondes des actions et des crimes d’Israël contre les Palestiniens découlent de ses politiques discriminatoires fondées sur l’apartheid. La communauté internationale doit impérativement s’attaquer à ces causes profondes, notamment en mettant fin à l’occupation, à la colonisation et à la ségrégation raciale, tout en reconnaissant les droits inaliénables du peuple palestinien, y compris son droit à l’autodétermination. Il est essentiel d’exercer une pression sur Israël, qui s’est toujours soustrait à l’obligation de rendre des comptes pour les agressions systématiques qu’il a commises contre les Palestiniens.
Le 8 octobre, l’ICHR a publié une déclaration “condamnant fermement les graves violations des droits de l’homme perpétrées par l’occupation israélienne contre les civils palestiniens à Gaza. Ces violations comprennent des actes de meurtre, des bombardements, la destruction de maisons et de structures résidentielles, le ciblage d’institutions civiles, l’obstruction de l’entrée de fournitures essentielles et la coupure de l’électricité à Gaza. Ces actions persistent alors que le blocus imposé à la bande de Gaza dure depuis plus de 17 ans. L’ICHR tire la sonnette d’alarme quant à la possibilité pour le gouvernement israélien d’exploiter certains soutiens internationaux pour commettre de nouveaux massacres contre la population civile de Gaza et mettre en œuvre des opérations de déplacement à grande échelle”.

ONG américaines


Projet de justice d’Adalah

Le 12 octobre, l’AJP a tweeté : “Les médias et les gouvernements occidentaux sont coupables de génocide. Mais les Palestiniens continueront à s’élever”.
Le 11 octobre, l’AJP a tweeté : “La demande du peuple palestinien n’est pas radicale : arrêtez de nous tuer !”.
Le 9 octobre, l’AJP a tweeté : “L’histoire finira par écrire que les Palestiniens ont appris au monde à survivre”.
Le 7 octobre, l’AJP a tweeté une photo de terroristes franchissant la barrière frontalière, en écrivant : “Aucune cage n’est incontestée”.


American Friends Service Committee (AFSC)


Le 13 octobre, l’AFSC a lancé une pétition appelant le Congrès à “s’opposer à une invasion terrestre de Gaza par Israël”.
Le 13 octobre, l’AFSC a publié une déclaration affirmant que “pour apporter un changement, nous devons nous attaquer aux racines du conflit, y compris le déplacement historique et continu des Palestiniens, l’occupation et la réalité de l’apartheid….Envoyer des armes et de l’aide militaire à Israël en ce moment ne fait qu’étendre la violence et nous éloigne d’une solution… Quelques idées pour changer le récit : La violence n’a pas commencé avec les attaques de Gaza. Ces actions se sont produites dans le contexte d’un blocus de Gaza vieux de 16 ans… Les meurtres, l’oppression et la dépossession aux mains de l’État israélien sont des réalités palestiniennes depuis des décennies, et les événements récents doivent être vus dans ce contexte… Depuis des décennies, le peuple palestinien est confronté à l’occupation israélienne et à des violations systématiques des droits de l’homme qui constituent un apartheid… appelons à la fin de l’apartheid israélien.”
Le 11 octobre, l’AFSC a tweeté : “Pour mettre fin à la violence en Palestine et en Israël, nous devons nous attaquer aux causes profondes. Nous appelons les États-Unis et la communauté internationale à se concentrer sur la diplomatie, à respecter le droit humanitaire et à s’attaquer aux problèmes systémiques et aux politiques qui sont à l’origine de la tragédie en cours.
Le 10 octobre, Joyce Aljouny, secrétaire générale de l’AFSC, a condamné la “rhétorique raciste” d’Israël, affirmant : “Le gouvernement israélien n’a absolument pas condamné cette rhétorique raciste. Le ministre israélien des finances a déclaré que les Palestiniens avaient trois options : immigrer, vivre sous l’emprise ou mourir.
Le 9 octobre, l’AFSC a publié une déclaration affirmant que “l’escalade israélienne est justifiée par une rhétorique explicitement raciste… Grâce à cette expérience, il nous est apparu clairement que la sécurité ne peut être créée par une oppression systématique. Les Palestiniens subissent quotidiennement des violences et des punitions collectives, tandis que la majeure partie du monde ne fait rien. Il n’est pas nécessaire de se plonger dans l’histoire des 75 années d’occupation pour trouver les preuves de cette affirmation. Regardez les conditions de cette année… C’est de l’apartheid. Nous appelons les États-Unis et les autres membres de la communauté internationale à modifier les politiques à long terme qui ignorent les réalités de l’apartheid et les violations israéliennes des droits des Palestiniens… L’histoire nous montre que les peuples opprimés continueront à trouver des moyens de résister à leur oppression… La seule voie vers une paix durable pour la Palestine et Israël passe par l’éradication de l’occupation et de l’apartheid.
Le 9 octobre, l’AFSC a publié une fiche d’information intitulée “5 choses que vous devez savoir sur ce qui se passe en Israël et à Gaza”. Selon cette fiche, “la violence n’a pas commencé avec les attaques de Gaza… Ce manque de responsabilité et le sentiment qu’ont les Palestiniens d’avoir été abandonnés par la communauté internationale sont importants pour comprendre les violences récentes. Pour que la violence cesse, la politique des États-Unis doit changer. Israël doit être tenu pour responsable de ses violations des droits, et le système d’apartheid doit cesser”.
Le 9 octobre, l’AFSC a lancé une pétition appelant le Congrès à “demander la fin immédiate de toute violence et à s’attaquer au système d’apartheid et à l’inégalité persistante qui sont la cause première de cette violence”.

Centre pour les droits constitutionnels

Le 24 octobre, le CCR a tweeté : “Le Département d’État américain a couvert Israël lors des négociations de l’ONU sur le traité contraignant à Genève ce matin. Tous les États doivent immédiatement faire respecter la Convention sur le génocide en provoquant un #CEASEFIRE et tenir Israël et ses alliés, comme les États-Unis, responsables de leurs actions.”
Le 22 octobre, le CCR a publié un article citant Diala Shamas, avocate du CCR au Comité des droits de l’homme des Nations Unies, affirmant : “Alors que nous observons un génocide se dérouler en Palestine avec ce qui semble être une complicité totale des États-Unis, nous sommes également témoins d’un assaut parallèle contre ceux qui se lèvent pour protester contre ce génocide au niveau national…”. La déshumanisation publique des Palestiniens au plus haut niveau du gouvernement américain a conduit à une montée en flèche de la répression de l’activisme et de toutes les expressions de soutien à la Palestine… Nous demandons aux États-Unis de mettre fin à leur complicité dans le génocide et appelons à un cessez-le-feu immédiat… afin d’affirmer la nécessité de rendre des comptes pour les abus israéliens et américains à l’encontre des Palestiniens. “
Le 22 octobre, dans un entretien avec Common Dreams, le CCR a déclaré : “Non seulement les États-Unis ne respectent pas leur obligation d’empêcher la commission d’un génocide, mais il est plausible et crédible de dire que les actions des États-Unis en faveur de l’opération militaire israélienne, du bouclage et de la campagne contre la population palestinienne de Gaza s’élèvent au niveau de la complicité dans le crime en vertu du droit international […] les États-Unis – et les citoyens américains, y compris et jusqu’à présent – ne sont pas responsables des actes de génocide. Les États-Unis et les citoyens américains, y compris et jusqu’au président, peuvent être tenus responsables de leur rôle dans la poursuite du génocide, à la fois en vertu du droit international et du droit américain…”
Le 21 octobre, Sadaf Doost, avocate et membre du CCR, a tweeté : “Le gouvernement américain – y compris les personnes qui ont la capacité d’empêcher le génocide israélien en cours à Gaza – a le devoir d’agir pour empêcher le bombardement de l’hôpital Al-Quds en vertu de la Convention de Genève, sinon il est complice”.
Le 20 octobre, CCR a tweeté : “Going All-In for Israel May Make Biden Complicit in Genocide ‘[T]he crime of genocide implicates not only those carrying out the crime, but also those complicit in it'” (Le crime de génocide implique non seulement ceux qui le commettent, mais aussi ceux qui en sont complices).
Le 19 octobre, le CCR a tweeté : “NOUVEAU : Il existe des arguments crédibles, fondés sur des preuves solides, selon lesquels Israël tente de commettre, voire commet activement, un génocide contre le peuple palestinien dans la bande de Gaza….. Notre document décrit comment, par leur soutien militaire, diplomatique et politique inconditionnel à Israël, les États-Unis non seulement ne parviennent pas à empêcher le génocide, mais en sont complices…”
Le 19 octobre, le CCR a tweeté : “BREAKING : Nous avons rédigé un document d’information d’urgence présentant une analyse juridique et factuelle du crime de génocide commis par Israël contre le peuple palestinien et de la complicité des États-Unis dans cette grave violation du droit international”.
Le 19 octobre, CCR a tweeté : “Dans notre dernier briefing informel au comité des droits de l’homme de l’ONU, le directeur exécutif de @USCPR_ @A7madAbuznaid appelle les membres du comité à tenir les États-Unis pour responsables de leur complicité avec le génocide israélien des Palestiniens.”
Le 18 octobre, Diala Shamas, avocate principale, a tweeté : “Les défenseurs des droits des Palestiniens à l’ONU dénoncent la complicité des États-Unis au milieu des accusations de génocide”
Le 18 octobre, le CCR a publié un “dossier juridique d’urgence” sur “le crime de génocide du peuple palestinien perpétré par Israël et l’incapacité des États-Unis à prévenir le génocide et à s’en rendre complices”. Selon ce mémoire, “il existe des arguments plausibles et crédibles, fondés sur des preuves factuelles solides, selon lesquels Israël tente de commettre, voire commet activement, le crime de génocide dans le territoire palestinien occupé, et en particulier contre le peuple palestinien dans la bande de Gaza”.
Le 16 octobre, le CCR a tweeté : “S’exprimant sur le génocide en Palestine devant le Comité des droits de l’homme de l’ONU : Les États-Unis doivent cesser de soutenir un régime qui commet un génocide contre le peuple palestinien. Si nous n’agissons pas maintenant, les mots “plus jamais ça” ne seront que des mots”. – @A7madAbuznaid”.
Le 16 octobre, Diala Shamas, avocate principale, a tweeté : “La complicité des États-Unis avec le génocide israélien a d’abord et avant tout des conséquences dévastatrices pour les Palestiniens de Gaza. Mais la déshumanisation rampante de la vie palestinienne a aussi des conséquences aux États-Unis. Mes 2 minutes au Comité des droits de l’homme de l’ONU. #WadeaAlFayoume”
Le 16 octobre, Diala Shamas, avocate principale, a tweeté : “Ici à Genève, lors de l’examen des États-Unis par le Comité des droits de l’homme de l’ONU, avec @A7madAbuznaid de l’USCPR_, nous soulevons la question de la complicité des États-Unis dans le génocide israélien avec tous ceux qui voudront bien nous écouter. #ceasefireNOW”
Le 16 octobre, Diala Shamas, avocate principale du CCR, a tweeté : “La complicité des États-Unis avec le génocide israélien a avant tout des conséquences dévastatrices pour les Palestiniens de Gaza. Mais la déshumanisation rampante de la vie palestinienne a aussi des conséquences aux États-Unis. Mes 2 minutes au Comité des droits de l’homme de l’ONU”.
Le 13 octobre, le CCR a tweeté : “Ce que fait Israël à Gaza est un génocide. Il y a génocide lorsque des mesures sont prises pour détruire un groupe en tout ou en partie, notamment en le tuant ou en créant des conditions de vie qui entraînent la destruction du groupe.  
Le 13 octobre, le CCR a tweeté : “Les déclarations et les actions du @POTUS et d’autres personnes aux États-Unis suggèrent que les États-Unis sont de plus en plus complices. La complicité dans un génocide est absolument interdite et nous n’oublierons pas”.
Le 12 octobre, le CCR a publié une déclaration affirmant : “C’est notre engagement envers la dignité humaine et le caractère précieux de la vie qui a depuis longtemps conduit notre organisation à se tenir aux côtés des Palestiniens qui résistent à la colonisation, à l’occupation et à l’apartheid israéliens […] à décrier le massacre d’Israël à Gaza, qui risque de devenir un génocide […] les actions d’Israël soutenues et parrainées par les États-Unis […] ne sont pas des crimes contre l’humanité. La communauté internationale a observé en silence Israël commettre des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité contre des générations de Palestiniens en toute impunité… et appeler ouvertement au génocide, Israël s’engage à nouveau dans une punition collective d’une population largement civile et réfugiée qui ne peut pas s’échapper. Il y a de bonnes raisons de craindre qu’il s’agisse du crime le plus horrible jamais commis par Israël contre les Palestiniens… tous les acteurs, y compris les États-Unis, doivent être tenus responsables des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité”.
Le 10 octobre, dans une interview accordée au Guardian, Diala Shamas, avocate principale du CCR, a déclaré : “Reconnaître les causes profondes de la violence actuelle ne signifie pas qu’il faille fermer les yeux sur les attaques contre les civils. Offrir un contexte n’est pas une excuse. Au contraire, la seule façon d’honorer les pertes humaines – palestiniennes et israéliennes – est de s’attaquer à leur source. Les États-Unis doivent mettre fin à leur complicité avec l’apartheid israélien, l’oppression systémique, l’occupation militaire et la punition collective – et non pas doubler leur soutien”.
Le 8 octobre, le CCR a tweeté : “Les Palestiniens et les militants de la solidarité connaissent leurs droits et continueront à protester”.
Le 8 octobre, à la suite de manifestations à New York, le CCR a tweeté : “Accuser les défenseurs des droits de l’homme des Palestiniens de soutenir le terrorisme est dangereux, fatigant, et ignore 75 ans de colonisation et de crimes de guerre israéliens.”
Le 7 octobre, le CCR a publié un communiqué de presse affirmant que “la domination coloniale israélienne est un contexte nécessaire à la résistance palestinienne”. Selon ce communiqué de presse, “le Center for Constitutional Rights est solidaire du peuple palestinien dans sa lutte de plusieurs décennies pour l’autodétermination et la liberté face au régime israélien d’apartheid et à l’occupation militaire belligérante prolongée de la Cisjordanie, y compris Jérusalem-Est, et de la bande de Gaza. Le bouclage brutal de Gaza par Israël pendant 16 ans a asphyxié les deux millions de Palestiniens qui y sont emprisonnés, tandis qu’Israël a lancé à plusieurs reprises des attaques militaires qui ont tué des milliers de civils et en ont blessé des dizaines de milliers d’autres. La colonisation israélienne de la Palestine historique donne lieu au droit international des peuples colonisés de résister à la domination coloniale et de poursuivre la libération nationale et l’autodétermination. En vertu du droit international, les groupes armés, tels que les combattants de la résistance palestinienne, peuvent légalement mener des attaques contre des cibles militaires. Israël, avec le soutien total des États-Unis et d’une grande partie de la communauté internationale, a commis des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité en toute impunité, ce qui a entraîné une profonde érosion des normes internationales et des protections nécessaires pour les peuples et les civils occupés. Nous nous faisons l’écho des demandes de reddition de comptes et réaffirmons notre engagement à démanteler toutes les formes de colonialisme”.

Équipes chrétiennes d’artisans de la paix

Le 15 octobre, le CPT a publié une déclaration qualifiant tous les morts palestiniens de martyrs, sans mentionner le terrorisme du Hamas, en écrivant : “A ce jour, il y a eu au moins 2329 martyrs à Gaza et 55 martyrs en Cisjordanie au cours de la semaine de l’agression israélienne sur Gaza… Ils étaient des combattants pour leur patrie, pour leur terre. Ils ont résisté à l’occupation, qui tue et déplace les Palestiniens depuis 1948… Cette résistance, réponse naturelle aux crimes de l’occupation contre les Palestiniens, a été condamnée par beaucoup, alors que les occupants ont le droit de se défendre. La résistance palestinienne est souvent qualifiée injustement de terrorisme, alors qu’elle ne fait que défendre sa terre et ses droits en vertu du droit international et de la résolution 2649 de 1970 de l’Assemblée générale des Nations unies, qui affirme la légitimité de la lutte pour l’autodétermination… Je comprends que vous vous opposiez à la violence, mais ne laissez pas votre position contre la violence créer un espace de déni du droit à la résistance.
Le 13 octobre, la CPT a publié une déclaration justifiant le recours à la violence par le Hamas, affirmant que “les conflits sont désordonnés, la propagande est omniprésente et les structures de pouvoir influencent le cours de la violence. Ainsi, dans notre engagement à défaire les oppressions, il est impératif que nous regardions notre position de non-violence dans le miroir… Par conséquent, en période de violence horrible, notre position sur la non-violence doit être déconstruite, en particulier en tant qu’organisation née de nations coloniales et impérialistes blanches. En tant que praticiens de la paix, nous ne pouvons pas alimenter le récit dominant qui justifie encore plus la violence contre les opprimés….Donc dites-nous, qu’est-ce que vous avez du mal à accepter alors que nous parlons des événements de cette semaine ?”
Le 14 octobre, CPT a tweeté : “Jour après jour, les histoires gravées sur la mer, la terre et le ciel, nous ne deviendrons pas une pièce de musée, effacée par l’État colonial, ni ne nous inclinerons devant la suprématie qui cherche à dicter nos vies. nous sommes vivants, nous existons”.
Le 12 octobre, la CPT a tweeté : “Priez pour la Palestine. Cette semaine, Gaza subit la violence incessante des bombardements israéliens. Prions pour la reconnaissance de notre humanité commune et unissons-nous dans les appels à la libération”.

CODEPINK

CODEPINK mène une campagne intitulée “Le gang du génocide de Gaza : EXPOSÉ !” Cette campagne encourage les individus à poster des tweets pré-écrits. Voici quelques exemples :
“Genocide Joe : En tant qu’architecte du génocide en chef, Joe Biden a ouvertement permis à Israël de commettre un génocide, des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité en finançant les bombes qui tombent sur des innocents en Palestine.” Tweet pré-écrit : “De la répétition de mensonges à l’envoi de 100 milliards de dollars pour des bombes qui tuent, Joe Biden ne soutient pas seulement le génocide, il le finance. Il a du sang sur les mains. #GenocideGang @CODEPINK”
“Bombin’ Blinken : Blinken ne soutient pas seulement le génocide mais exige également que personne dans son bureau n’appelle à une déscalade ou à un cessez-le-feu. Pour lui et son équipe de “diplomates”, il n’y a que le pied sur l’accélérateur du génocide. Tweet pré-écrit : “Imaginez que vous soyez si favorable à la guerre que vous interdisiez les mots “cessez-le-feu/désescalade”, “fin de la violence/effusion de sang” et “rétablissement du calme” ? Anthony Blinken et ses ‘diplomates’ ne sont pas intéressés par la diplomatie, ils poussent à plus d’escalade et de violence. #GenocideGang @CODEPINK”
“Villainous von der Leyen” Tweet pré-écrit, “Le président de l’UE justifie un génocide en l’appelant “démocratie”. Von der Leyen : quand vous réveillerez-vous à la vérité du nettoyage ethnique israélien ? #GenocideGang @CODEPINK”
“Zuckerberg assoiffé de sang” Tweet pré-écrit, “Zuckerberg fait taire la vérité sur le génocide. Il agit comme un outil de propagande pour Israël. #GenocideGang @CODEPINK”
Le 25 octobre, CODEPINK a tweeté : “Ne laissez aucun membre du Congrès prétendre qu’il n’est pas au courant du génocide brutal qu’Israël est en train de perpétrer avec le soutien des États-Unis. Voici ce que nous avons dit au bureau de @RepGregoryMeeks aujourd’hui”.
Le 25 octobre, CODEPINK a tweeté : “Le Congrès a du sang sur les mains ! Nous étions au Congrès encore une fois aujourd’hui avec beaucoup d’autres pour demander aux membres de faire pression pour un cessez-le-feu et la fin de l’occupation de la Palestine.”
Le 25 octobre, CODEPINK a tweeté : “Ils nous disent en face qu’ils vont continuer à massacrer les Palestiniens. Ce n’est pas une guerre. C’est un génocide.”
Le 24 octobre, CODEPINK a tweeté : “C’est un génocide. C’est un nettoyage ethnique. Appelez-le par son nom ! Leslie en est à son huitième jour de grève de la faim pour Gaza. Elle est au Congrès pour exiger qu’ils fassent le strict minimum et signent la résolution de Cori Bush appelant à un cessez-le-feu”.
Le 24 octobre, CODEPINK a tweeté : “C’est ridicule. Nous avons commandé des ballons sur lesquels on peut lire ‘END THE SIEGE ON GAZA’ et l’usine de production a refusé de les imprimer”.
Le 24 octobre, la cofondatrice Medea Benjamin a tweeté : “Biden appelle à la paix ??? Quelle cruelle plaisanterie. Pour commencer, il devrait empêcher Israël de bombarder et d’affamer les Palestiniens.”
Le 24 octobre, la cofondatrice Medea Benjamin a tweeté : “J’ai regardé Al Jazeera et je suis écoeurée, écoeurée, écoeurée par les bombardements israéliens incessants sur Gaza. Le gouvernement israélien et ses complices américains sont des criminels de guerre sans cœur”.
Le 23 octobre, CODEPINK a tweeté : “On nous a menti pour justifier l’invasion de l’Irak et d’autres violences dans le cadre de la soi-disant “guerre contre le terrorisme”. Aujourd’hui, nos dirigeants tentent de justifier l’armement de l’apartheid et du génocide en Palestine. Nous voyons clair dans tout cela”.
Le 23 octobre, la cofondatrice Medea Benjamin a tweeté : “La poétesse, écrivaine et féministe June Jordan a dit un jour que la Palestine était une épreuve de vérité morale. Le moment est venu pour tout le monde de passer cette épreuve et de se solidariser avec le peuple palestinien”.
Le 22 octobre, la cofondatrice Medea Benjamin a tweeté : “Jake Tapper, de CNN, devrait être engagé par le gouvernement israélien pour diriger leur machine de propagande. Il est vraiment doué pour cela.”
Le 21 octobre, CODEPINK a tweeté : “Des dizaines de milliards de dollars d’argent public sont dépensés pour bombarder des enfants et armer l’apartheid. Qui cela rend-il sûr ? La sécurité vient de l’arrêt des guerres et du financement de nos communautés !
Le 21 octobre, la cofondatrice Medea Benjamin a tweeté : “Il y a une frustration et une colère profondes parmi le personnel du département d’État concernant le soutien des États-Unis au génocide israélien. Il en va de même au Congrès. Je le sais de première main”.
Le 20 octobre, CODEPINK a tweeté : “Sara Snider était responsable de l’amplification de la fausse affirmation d’un soldat de l’OIF concernant “40 bébés décapités” alors qu’Israël commençait sa campagne de bombardement implacable contre Gaza”.
Le 20 octobre, la cofondatrice Medea Benjamin a tweeté : “Blinken prétend se soucier des civils palestiniens alors qu’il donne son feu vert aux bombardements israéliens, refuse d’appeler à un cessez-le-feu et promeut des milliards de dollars américains supplémentaires pour plus de bombes afin de tuer plus de civils à Gaza”.
Le 20 octobre, la cofondatrice Medea Benjamin a tweeté : “M. Biden a déclaré : “Nous sommes, comme l’a dit mon amie Madeleine Albright, la nation indispensable”. Il aurait été plus approprié de se souvenir de son amie belliciste disant que la mort de 500 000 enfants irakiens ‘en valait la peine’, car c’est essentiellement ce que Biden dit à propos des Palestiniens”.
Le 20 octobre, la cofondatrice Medea Benjamin a tweeté : “Biden parle d’apporter de petites quantités d’aide humanitaire à Gaza, mais n’appelle pas à un cessez-le-feu pour empêcher les gens d’être massacrés ?
Le 20 octobre, la cofondatrice Medea Benjamin a tweeté : “Biden et le Congrès : écoutez le peuple américain. Plus d’armes pour Israël !!!”
Le 20 octobre, la cofondatrice Medea Benjamin a tweeté : “Plus de 6 000 bombes ont été larguées sur des civils terrifiés à Gaza, et Biden se vante de créer plus d’emplois aux États-Unis pour fabriquer plus de bombes. C’est inadmissible. Un manque total d’humanité”.
Le 20 octobre, la cofondatrice Medea Benjamin a tweeté : “La ‘logique’ de Biden n’a absolument aucun sens : Nous devons envoyer plus d’armes à l’Ukraine parce qu’elle est occupée ; nous devons envoyer plus d’armes à Israël, l’occupant”.
Le 20 octobre, la cofondatrice Medea Benjamin a tweeté : “Président Biden : envoyer des milliards de bombes et d’armes à l’armée israélienne qui a assassiné sans pitié plus de 4 000 Palestiniens innocents est inacceptable”.
Le 20 octobre, la cofondatrice Medea Benjamin a tweeté : “BREAKING NEWS : Joe Biden a refusé de dire combien d’argent il demande pour financer une nouvelle guerre en Ukraine et en Israël. Peut-être parce qu’il sait que le peuple américain veut qu’il arrête les guerres, pas qu’il les alimente”.
Le 20 octobre, la cofondatrice Medea Benjamin a tweeté : “WTF ? Biden dit qu’envoyer plus d’armes en Ukraine et en Israël est un investissement pour garder les Américains à l’abri du danger. Il prépare le terrain pour la Troisième Guerre mondiale !!!”
Le 19 octobre, la cofondatrice Medea Benjamin a tweeté : “Laissez Gaza vivre. Laissez Gaza vivre. @RepMTG soutient le génocide”.
Le 19 octobre, CODEPINK a tweeté : “Après avoir soutenu une occupation internationalement condamnée pendant 75 ans, les États-Unis refusent d’abandonner leur soutien au nettoyage ethnique israélien. Demander une PAUSE pour acheminer l’aide humanitaire est littéralement le moins que les États-Unis puissent faire pour les Palestiniens, et ils ne le font toujours pas.”
Le 18 octobre, CODEPINK a tweeté : “La chose ‘humanitaire’ à faire serait de cesser tout soutien à la campagne militaire génocidaire d’Israël contre la Palestine. Vous ne pouvez pas ‘soutenir’ les Palestiniens alors que vous fournissez les bombes qui leur sont lancées”.
Le 18 octobre, la cofondatrice Medea Benjamin a tweeté : “Le discours de Biden en Israël aujourd’hui était pénible à regarder. Il a longuement parlé des atrocités commises contre les Israéliens, mais a ignoré les horribles souffrances que subissent actuellement les Gazaouis sous les bombes américaines, ainsi que les souffrances continues dues au siège de Gaza et à l’occupation de la Cisjordanie.”
Le 18 octobre, la cofondatrice Medea Benjamin a tweeté : “Biden en Israël ne montre AUCUNE compréhension de ce que les Palestiniens ont souffert depuis la création d’Israël. Il ne se soucie pas non plus de comprendre. C’est un propagandiste israélien”.
Le 18 octobre, la cofondatrice Medea Benjamin a tweeté : “Le “soutien sans faille” de Biden à Israël et son manque de compréhension ou de compassion pour le sort des Palestiniens feront que les États-Unis seront détestés dans une grande partie du monde”.
Le 18 octobre, la cofondatrice Medea Benjamin a tweeté : “Les Israéliens bombardent un hôpital à Gaza, tuant plus de 500 personnes, et Biden dit à Netanyahu qu’il pense que l’hôpital a été bombardé par “l’autre équipe, pas vous”. La couverture de Biden pour les crimes de guerre israéliens est plus que dégoûtante. C’est hideux.
Le 18 octobre, la cofondatrice Medea Benjamin a tweeté : “‘Explosion’ à l’hôpital de Gaza, @SecBlinken ? ??? Non, c’était une attaque aérienne israélienne. Et vous soutenez Israël. Alors ne nous racontez plus de bobards sur votre engagement à protéger la vie des civils !”
Le 18 octobre, la cofondatrice Medea Benjamin a tweeté : “En ce qui concerne la Palestine, certains d’entre nous ont dit qu’une solution à deux États était morte depuis longtemps et que la seule solution était un État démocratique unifié avec des droits égaux pour tous. Mais la crise actuelle ne rend-elle pas cette solution impossible ? Quelle est donc la solution ?
Le 18 octobre, la cofondatrice Medea Benjamin a tweeté : “Israël commet un génocide. Le monde doit les arrêter !!!”
Le 17 octobre, la cofondatrice Medea Benjamin a tweeté : “On se voit là-bas. Au Capitole des États-Unis demain. A l’appel de Jewish Voice for Peace #JVPLive Say No to Genocide in Gaza”.
Le 17 octobre, CODEPINK a tweeté : “Après avoir commis le massacre le plus meurtrier depuis la Nakba, Israël demande de l’aide aux Etats-Unis. Les États-Unis doivent cesser d’armer ce régime génocidaire MAINTENANT”.
Le 15 octobre, Madea Benjamin, cofondatrice de CODEPINK, a tweeté : “C’est tellement vrai pour Gaza : Quand il faut organiser des centaines de manifestations juste pour dire au monde qu’il est inacceptable de bombarder des enfants, c’est là que l’on sait que l’humanité a échoué”.
Le 15 octobre, Madea Benjamin, cofondatrice de CODEPINK, a tweeté : “C’est de pire en pire. Le personnel du département d’État américain a écrit que les documents de presse ne devaient pas contenir les expressions suivantes : “désescalade/cessez-le-feu”, “fin de la violence/effusion de sang” et “rétablissement du calme”. Biden donne un feu vert total à la punition collective infligée par Israël aux habitants de Gaza”.
Le 13 octobre, CODEPINK a tweeté : “La Maison Blanche dit que la paix est ‘répugnante’ et que les occupants coloniaux ont le droit de recourir à la violence contre les civils. La dernière fois qu’ils ont parlé ainsi, les Etats-Unis ont tué 4,5 millions de personnes”.
Le 13 octobre, CODEPINK a tweeté : “Israël a demandé à un MILLION de personnes qui n’ont nulle part où aller d’évacuer dans un délai d’un jour (maintenant 12 heures). Il s’agit ni plus ni moins d’un nettoyage ethnique mené avec les armes et le soutien politique des États-Unis. Nous ne pouvons pas laisser notre gouvernement continuer à armer un génocide”.
Le 13 octobre, Madea Benjamin, cofondatrice de CODEPINK, a tweeté : “‘Pensez à la pire chose que vous puissiez dire sur le Hamas, multipliez-la par mille, et elle ne sera toujours pas à la hauteur de la répression, du meurtre et de la dépossession des Palestiniens par Israël’, dit @GaborMate979, un survivant de l’Holocauste”.
Le 13 octobre, CODEPINK a tweeté une citation du Syndicat des enseignants et des employés de l’Université Beirzeit en Cisjordanie : “Nous n’avons pas besoin de parler de notre droit à la résistance, car ce n’est pas un droit, mais une façon d’être et de survivre pour les Palestiniens.”
Le 13 octobre, Madea Benjamin, cofondatrice de CODEPINK, a tweeté : “Compte tenu des conditions auxquelles les habitants de Gaza ont été soumis, en particulier au cours des 16 dernières années de siège cruel, la rage et la violence incontrôlées du Hamas peuvent être comprises, mais pas excusées.”
Le 13 octobre, Madea Benjamin, cofondatrice de CODEPINK, a tweeté : “Le Hamas et ses excès sont le produit d’un siècle de destruction systématique et brutale du peuple palestinien par un projet sioniste déterminé à déplacer le peuple palestinien, à prendre ses terres et à transformer son pays en un État exclusivement juif”.
Le 12 octobre, CODEPINK a participé à une manifestation devant les bureaux d’Elbit dans le Massachusetts, demandant : “Elbit Systems ne fera pas ses affaires comme d’habitude dans notre ville tout en profitant du meurtre de masse du peuple palestinien !”
Le 12 octobre, Madea Benjamin, cofondatrice de CODEPINK, a tweeté : “Israël a aidé à créer ces combattants à Gaza en les privant d’espoir, de dignité et d’avenir”.
Le 10 octobre, la cofondatrice de CODEPINK, Medea Benjamin, a tweeté : “Plus de 2 millions de personnes à Gaza ont été prises en otage par les Israéliens au cours des 16 dernières années”.
Le 9 octobre, Madea Benjamin, cofondatrice de CODEPINK, a tweeté : “Les États-Unis n’appellent donc pas à un cessez-le-feu ou à la retenue alors qu’Israël bombarde des résidences civiles à Gaza et se prépare à une riposte militaire encore plus brutale. Les Etats-Unis donnent le feu vert à Israël pour plus de punition collective, ce qui est illégal et immoral”.
Le 8 octobre, CODEPINK a lancé une pétition appelant le président Biden et le secrétaire à la défense Lloyd J. Austin III à “cesser de soutenir l’apartheid israélien”. Selon la pétition, “Israël a colonisé, occupé et opprimé le peuple de Palestine pendant 70 ans. Cela a inévitablement conduit à la résistance des Palestiniens. Au cours des 20 dernières années, les Palestiniens se sont engagés dans l’activisme non violent pour faire connaître leur situation, avec la violence croissante de ces dernières années, en particulier cette année, il y a ceux qui ont pivoté vers la résistance le 7 octobre”.
Le 8 octobre, CODEPINK a participé à une manifestation à Washington DC appelant “Biden à cesser d’armer l’apartheid et à imposer des sanctions à Israël”.
Le 7 octobre, Madea Benjamin, cofondatrice de CODEPINK, a tweeté : “Le gouvernement israélien ne peut pas maintenir deux millions de personnes dans une prison à ciel ouvert à Gaza et ne pas s’attendre à une résistance”.

National Lawyers Guild

Le 7 octobre, la NLG a publié une déclaration de “solidarité avec le peuple de Palestine dans sa lutte contre l’État colonial d’Israël”.
Open Society Foundations
Le 11 octobre, selon des sources d’information, le président de l’Open Society Foundation, Mark Malloch-Brown, a envoyé un courriel au réseau de la fondation, écrivant que “la punition collective des civils était une grave violation du droit humanitaire… Parce que la discussion actuelle est si conflictuelle, nous ne nous sommes pas encore exprimés publiquement, mais nous choisirons le moment d’intervenir pour faire valoir ce point lorsque nous penserons être entendus”.

ONG européennes
Alliance ACT

Le 8 octobre, ACT Alliance a publié une déclaration qui ne mentionne ni le Hamas ni les victimes israéliennes, en écrivant : “Nous souhaitons souligner la nature prolongée du blocus de la bande de Gaza, qui persiste depuis 2007 et entraîne d’innombrables violations des droits fondamentaux de sa population. En réponse à ces circonstances pénibles, nous exigeons non seulement la cessation immédiate de ce blocus, mais nous plaidons également pour l’établissement d’une paix juste et durable qui garantira le rétablissement de ces droits essentiels pour tous les peuples”.
ACT Alliance EU
Le 10 octobre, ACT Alliance EU et la CIDSE ont publié une déclaration affirmant que “les bombardements aveugles et les attaques intentionnelles contre la population civile palestinienne et les infrastructures telles que les hôpitaux et les écoles par l’armée israélienne constituent également des crimes de guerre tandis que la persécution, ou la punition collective, constitue un crime contre l’humanité en vertu du Statut de Rome… nous ne devons pas oublier les causes profondes qui entretiennent ce cycle sans fin de violence et de tragédie humaine”. Seize ans de blocus à Gaza… Cinquante-six ans d’occupation militaire, d’annexion de terres palestiniennes et de discrimination systémique… Les colonies illégales… la violence des colons… Les changements du statu quo autour du Mont du Temple/Haram Al-Sharif à Jérusalem-Est et les violations du droit de culte… La communauté internationale et les gouvernements de l’UE et des États-Unis en particulier portent une lourde responsabilité dans la détérioration de la situation. Depuis des années, ils ne parviennent pas à tenir Israël pour responsable des violations flagrantes des droits de l’homme et du droit humanitaire international, conformément à leurs propres obligations d’État tiers en vertu du droit international.

CARE International

Le 13 octobre, CARE a publié une déclaration affirmant que “les Palestiniens innocents ne devraient pas supporter le coût de la réponse à l’horrible acte de terreur perpétré contre des Israéliens innocents. Si un tel ordre reste en place, les conséquences humanitaires seront d’une ampleur que nous n’avons jamais vue dans la région au cours de l’histoire récente…. Nous implorons ceux qui ont le pouvoir de le faire de désamorcer immédiatement le cycle de la violence et de donner la priorité à la protection de la vie des civils à Gaza, y compris celle des travailleurs humanitaires, comme le prévoit le droit international humanitaire”.

Christian Aid

Le 10 octobre, Christian Aid a publié une déclaration selon laquelle “nous sommes très préoccupés par les informations selon lesquelles certains donateurs officiels interrompent l’aide aux civils palestiniens, ce qui ne fera qu’aggraver leurs souffrances… Le cycle de la violence ne s’arrêtera pas, et des innocents continueront à en payer le prix, jusqu’à ce qu’une nouvelle approche soit adoptée, qui traite les Palestiniens et les Israéliens sur un pied d’égalité, et mette fin à l’occupation de Gaza et de la Cisjordanie”.

EAPPI Royaume-Uni et Irlande

Le 13 octobre, l’EAPPI Royaume-Uni et Irlande a lancé une pétition appelant les députés à “demander à Israël de rendre compte de ses obligations en vertu du droit international. Alors que les hostilités se poursuivent, des civils innocents paieront le prix fort si la communauté internationale n’agit pas”.  
Embrasser le Moyen-Orient
Le 13 octobre, Embrace the Middle East a publié une déclaration affirmant qu’Israël “n’a pas le droit – le droit international est très clair à ce sujet – d’agir sans discernement, sans tenir compte de la sécurité des civils innocents. Il ne peut pas, par exemple, effacer des quartiers entiers, affamer ou déplacer une population entière de ses maisons”.  

EuroMed Rights

Le 20 octobre, EuroMed Rights a tweeté : “#Gaza : imposer des conditions à l’entrée de l’aide humanitaire de base telle que la nourriture, l’eau et les médicaments est un crime de guerre. Nous appelons à un cessez-le-feu immédiat et à la fin du massacre illégal de civils innocents à Gaza, déclare le président d’@EuroMedRights @walasmar à @ifmTn”.
Le 19 octobre, EuroMed Rights a tweeté : “Ce que nous voyons à #Gaza est dû au soutien inconditionnel des États-Unis et de l’Union européenne à Israël, qui n’a jamais eu à rendre de comptes pour les crimes de guerre commis en Palestine occupée. Ce qui se passe aujourd’hui n’est pas nouveau pour le peuple palestinien. Il s’agit d’un génocide systématique, et il est regrettable qu’il se déroule dans le silence international”.
Le 16 octobre, le président d’EuroMed, Wadih al-Asmar, et le directeur exécutif d’EuroMed, Rasmus Alenius Boserup, ont publié un article affirmant que “la répression israélienne des droits des Palestiniens viole plusieurs normes juridiques internationales et est susceptible de favoriser la radicalisation et la violence”. Selon cet article, l’UE doit “veiller à ce que les auteurs de crimes de guerre répondent de leurs actes. Elle doit soutenir publiquement la Cour pénale internationale dans ses enquêtes sur les crimes de guerre en Palestine et inviter les Etats membres à soutenir une cour chroniquement sous-financée et manquant de personnel”.
Le 16 octobre, EuroMed Rights a tweeté, “Considérant les nombreuses occasions manquées de faire respecter la responsabilité en #Israël et dans le #TPO et de poursuivre un véritable processus de paix dans le passé, les violations continues du droit international et les punitions collectives à #Gaza devraient être un signal d’alarme pour l’UE”
Le 10 octobre, EuroMed Rights a publié une déclaration affirmant qu'”il est irresponsable de discuter de l’escalade actuelle de la violence sans aborder les causes profondes du conflit, qui résident dans l’occupation israélienne et le projet colonial des colons.”
Le 9 octobre, EuroMed Rights a tweeté : “La situation en #Israël/#Gaza/#oPt est un signe terrible de l’échec de l’UE et de la communauté internationale à poursuivre la paix, à appliquer le droit international humanitaire et à assurer l’autodétermination des Palestiniens.
Le 10 octobre, EuroMed Rights a tweeté : “La décision d’Israël de couper tout approvisionnement en électricité, en nourriture et en eau à #Gaza constitue une violation flagrante du droit international et une forme de punition collective, risquant d’aggraver la crise humanitaire en cours.”
Le 10 octobre, EuroMed Rights a tweeté : “Les récentes déclarations du ministre israélien de la Défense @yoavgallant lors de l’annonce du siège constituent une nouvelle étape de la déshumanisation de la population de #Gaza et un appel à commettre un crime de guerre qui doit être immédiatement répudié par l’UE, la communauté internationale et @IntlCrimCourt.”
Le 9 octobre, EuroMed Rights a tweeté : “La suspension des fonds de l’UE/MS pour l’Autorité palestinienne aggravera la situation humanitaire. Les coupes cibleront les civils, affecteront le fonctionnement des hôpitaux et de l’administration, aggravant ainsi la situation désastreuse des droits de l’homme et de la sécurité. La réduction des fonds est une forme de punition collective contre les civils palestiniens”.
Forum des droits
Le 18 octobre, le Rights Forum a publié un article appelant le gouvernement néerlandais à “mettre fin à la coopération militaire avec Israël….On ne peut pas collaborer avec une armée qui se livre à des violences contre des civils innocents sous les yeux de tous. On ne peut pas non plus acheter des armes à une entreprise qui utilise la bande de Gaza comme laboratoire pour les tester”.
Le 17 octobre, le Forum des droits, aux côtés de Sabeel UK et de Tent of Nations, a organisé une marche devant la Chambre des représentants à La Haye, intitulée “Pas de génocide à Gaza”.
Le 15 octobre, le Forum des droits a publié un article affirmant : “En tant que cible des roquettes du Hamas, la ville israélienne de Sderot fait souvent la une des journaux. Mais le village palestinien sur lequel Sderot est construit n’est pas nommé, alors qu’il est au cœur de la réalité palestinienne”. Selon l’article, “Israël est parsemé de Najds et de Sderots – des communautés palestiniennes nettoyées ethniquement entre 1947 et 1952 qui ont été habitées par des Israéliens depuis lors”.
Le 15 octobre, le Forum des droits a organisé un événement “en solidarité avec les victimes palestiniennes des bombardements israéliens à Gaza”.
Le 13 octobre, le Forum des droits a publié une déclaration affirmant que “les Pays-Bas ouvrent la porte aux crimes de guerre commis par Israël”. Selon la déclaration, “sous la bannière qu’Israël a ‘le droit de se défendre’, le prochain chapitre désastreux du ‘conflit’ qui dure depuis 75 ans est en train d’être écrit. Les Pays-Bas laissent faire”.
Le 9 octobre, le Rights Forum a publié une déclaration affirmant : “Avec une attaque aussi sensationnelle que brutale depuis la bande de Gaza, le mouvement palestinien Hamas a fait sensation dans le monde entier ce week-end. Il a brisé le blocus israélien étouffant qui a transformé Gaza en ce qu’il est convenu d’appeler “la plus grande prison à ciel ouvert du monde” depuis 16 ans”.
Le 9 octobre, le Forum des droits a publié une déclaration affirmant que “le refus d’analyser les causes profondes du “conflit” et de respecter également les droits des parties a créé une situation dans laquelle les Palestiniens n’ont plus aucune perspective d’avenir”.

War on Want

Le 18 octobre, War on Want a tweeté : “Une pression urgente de la part des citoyens de conscience est nécessaire pour empêcher le régime d’apartheid d’Israël de perpétrer un génocide du peuple palestinien. Il est essentiel que le gouvernement britannique et les partis d’opposition fassent tout ce qui est en leur pouvoir pour l’empêcher”.
Le 14 octobre, War on Want a tweeté : “Israël est en train de mettre en œuvre un génocide dans la bande de Gaza – avec le soutien du gouvernement britannique. Nous avons besoin de toute urgence que le gouvernement britannique mette fin au massacre et exige un cessez-le-feu immédiat”.
Le 13 octobre, dans une interview accordée à Sky News, Asad Rehman, directeur de War on Want, a déclaré : “Ce à quoi nous allons assister, c’est à la destruction totale des infrastructures civiles et au nettoyage ethnique de masse [du peuple palestinien].”
Le 13 octobre, War on Want a appelé les citoyens à contacter leurs députés pour leur dire que “les Palestiniens sont confrontés à un nettoyage ethnique de masse alors qu’Israël applique une punition collective brutale dans la bande de Gaza occupée”.
Le 13 octobre, War on Want a tweeté : “Le Royaume-Uni devrait mettre fin à son honteux commerce d’armes avec Israël à la suite de ces atrocités croissantes, et non accroître sa complicité militaire avec les violations mortelles du droit international commises par Israël”.
Le 13 octobre, Asad Rehman, directeur de War on Want, a tweeté : “Les spécialistes du génocide affirment que l’une de ses étapes est la déshumanisation délibérée et la diffusion de mensonges qui normalisent la haine contre l'”autre”. Les Palestiniens ont été “aliénés” pendant des décennies par l’Israël de l’apartheid et avec le soutien actif des médias et des politiciens occidentaux. C’est l’abc du racisme”.
Le 13 octobre, le directeur de War on Want, Asad Rehman, a tweeté : “J’invite tous ceux qui ont une once de compassion et d’humanité à envoyer un courriel à leur député pour l’exhorter à mettre un terme aux meurtres de Palestiniens et au projet de nettoyage ethnique qu’Israël a menacé et que le Royaume-Uni soutient”.
Le 11 octobre, War on Want a tweeté : “Israël commet des crimes de guerre en soumettant les Palestiniens à une catastrophe humanitaire en guise de punition collective. Le Royaume-Uni doit cesser d’autoriser les crimes de guerre et mettre fin à toutes les ventes d’armes à Israël”.
Le 11 octobre, War on Want a publié une déclaration affirmant que “ce cycle continu de violence est fermement ancré dans la colonisation et l’occupation illégale d’Israël qui durent depuis 75 ans, dans le blocus illégal de Gaza qui dure depuis 16 ans et dans le maintien d’un État d’apartheid… Israël a d’horribles antécédents en matière de ciblage délibéré de civils, d’utilisation de sa puissance militaire et de son matériel militaire de pointe pour mener des attaques disproportionnées, et les attaques aveugles qui tuent ou blessent des civils peuvent être assimilées à des crimes de guerre. Cette oppression et cette brutalité sont mises au service du maintien de l’occupation illégale et du régime d’apartheid d’Israël, qui violent eux-mêmes les droits fondamentaux du peuple palestinien. Il est donc crucial que le gouvernement britannique mette fin à sa complicité dans ces crimes en cessant toute vente d’armes à Israël”.
Le 10 octobre, War on Want a tweeté : “Ce cycle continu de violence est fermement ancré dans l’occupation illégale d’Israël qui dure depuis 75 ans, dans le blocus illégal de Gaza qui dure depuis 16 ans et dans le maintien d’un État d’apartheid”.
Le 10 octobre, War on Want a tweeté : “Israël a d’horribles antécédents en matière de ciblage délibéré de civils, d’utilisation de sa puissance militaire et de son matériel militaire de pointe pour mener des attaques disproportionnées et des attaques aveugles qui tuent ou blessent des civils, ce qui peut être assimilé à des crimes de guerre”.
Le 10 octobre, War on Want a tweeté : “Cette oppression et cette brutalité sont menées au service du maintien de l’occupation illégale et de l’apartheid israéliens, qui constituent eux-mêmes des violations des droits humains fondamentaux du peuple palestinien. Il est donc crucial que le gouvernement britannique mette fin à sa complicité en cessant toute vente d’armes à Israël”.

Nations Unies

Le 16 octobre, la rapporteuse spéciale des Nations unies sur la “situation des droits de l’homme dans les territoires palestiniens occupés depuis 1967”, Francesca Albanese, a écrit sur Facebook : “La proportion de la réponse d’Israël. Voici Gaza, maintenant c’est presque comme ça. Des choses comme ça, mais en pire, il les a faites 6 fois en 15 ans. Il a tué 6 800 civils et 2 000 enfants aujourd’hui rien qu’à Gaza. Sans parler de la brutalité de l’occupation coloniale en Cisjordanie, où la comparaison entre les colons et les soldats est quotidienne… Si vous ne les reconnaissez pas comme des porteurs de droits, le problème est votre indignation sélective, et votre élativisme éthique ou votre racisme…”
Le 15 octobre, le rapporteur spécial des Nations unies sur la “situation des droits de l’homme dans les territoires palestiniens occupés depuis 1967”, Francesca Albanese, a tweeté : “Une fois de plus : J’implore l’ONU d’intervenir pour un CEASEFIRE immédiat. Il ne peut plus y avoir de retard. En vertu du droit international, les crimes d’atrocité ne doivent pas seulement être punis, mais aussi prévenus. La seule signification possible de “plus jamais ça” est simplement la suivante : plus jamais ça, pour aucun être humain”.
Le 14 octobre, M. Albanese a écrit sur Facebook : “Le nettoyage ethnique est une réalité constante dans la vie du peuple palestinien, imprévisible dans son invisibilité.”
Le 14 octobre, Albanese a écrit sur Facebook : “URGENT – Les déplacements forcés de masse de Palestiniens ont eu lieu en 1947/49 et 1967, et se sont poursuivis depuis, sous des formes moins visibles mais non moins douloureuses. Cette fois-ci, il risque d’être aussi cruel que jamais, sous notre surveillance, certains États membres risquant même de le permettre. #CeasefireNow”.
Le 14 octobre, Albanese a affirmé : ” Israël a déjà procédé à un nettoyage ethnique de masse des Palestiniens sous le brouillard de la guerre… Encore une fois, au nom de l’autodéfense, Israël cherche à justifier ce qui équivaudrait à un nettoyage ethnique… Toutes les opérations militaires continues d’Israël ont largement dépassé les limites du droit international. La communauté internationale doit mettre fin à ces violations flagrantes du droit international maintenant, avant que l’histoire tragique ne se répète. Le temps presse. Les Palestiniens et les Israéliens méritent tous deux de vivre en paix, dans l’égalité des droits, la dignité et la liberté.
Le 13 octobre, M. Albanese a tweeté : “Ce n’est pas la première fois qu’Israël utilise du phosphore blanc sur les civils de Gaza. En 2009, le rapport Goldstone l’a jugé “imprudent et injustifiable par rapport à un quelconque avantage militaire”. L’autodéfense ne peut être invoquée pour remplacer le droit international par la force brute et pour justifier les crimes de guerre”.
Le 14 octobre, M. Albanese a publié sur Facebook : “Le nettoyage ethnique est une réalité constante dans la vie du peuple palestinien, imprévisible dans son invisibilité.”
Le 12 octobre, M. Albanese a écrit sur Facebook : “Il est difficile de surmonter le fléau du colonialisme de peuplement, car l’oppression et la déshumanisation du colonisateur causent trop de tort aux dépossédés et aux colonisés. Pourtant, c’est un processus nécessaire qui requiert une puissante décolonisation de l’esprit : l’esprit de la composante colonisatrice de la société avant tout”.
Le 10 octobre, la “Commission internationale indépendante d’enquête sur le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est, et en Israël” (COI), organe permanent du Conseil des droits de l’homme des Nations unies, a publié un communiqué de presse soulignant que “la Commission est gravement préoccupée par la dernière attaque d’Israël contre Gaza et par l’annonce par Israël d’un siège complet de Gaza impliquant la privation d’eau, de nourriture, d’électricité et de carburant, qui coûtera indubitablement des vies civiles et constitue une punition collective…”. Conformément à ses conclusions précédentes, la Commission souligne que le seul moyen de mettre fin à la violence et de parvenir à une paix durable est de s’attaquer aux causes profondes du conflit, notamment en mettant fin à l’occupation illégale du territoire palestinien et en reconnaissant le droit du peuple palestinien à l’autodétermination. “
Le 10 octobre, Lynn Hastings, coordinateur humanitaire des Nations unies pour le territoire palestinien occupé, a publié une déclaration affirmant que “le 8 octobre, le gouvernement israélien a déclaré la guerre en lançant des frappes aériennes intensives sur la bande de Gaza, densément peuplée, au cours des trois derniers jours.  Des centaines de Palestiniens ont été tués et plus de deux mille ont été blessés. L’ampleur des hostilités en cours a entraîné de graves conséquences humanitaires… conformément au siège complet ordonné par le gouvernement israélien sur Gaza, l’accès à l’électricité, à la nourriture et au carburant a également été coupé, ce qui aggrave inévitablement la situation humanitaire déjà désastreuse”.
Le 9 octobre, Catherine Russell, directrice générale de l’UNICEF, a publié une déclaration affirmant que “rien ne justifie le meurtre, la mutilation ou l’enlèvement d’enfants – des violations graves des droits de l’homme que l’UNICEF condamne sans réserve”. Pourtant, moins de 72 heures après le déclenchement d’horribles violences en Israël, des rapports indiquent que les violations graves des droits des enfants sont monnaie courante. De nombreux enfants ont été tués ou blessés, tandis que d’innombrables autres ont été exposés à la violence”.
Le 9 octobre, dans une interview accordée à Al-Jazeera, M. Albanese a déclaré : “Je suis horrifié par le récit, par le discours, parce qu’il est possible et nécessaire de soutenir à la fois les Palestiniens et les Israéliens sans recourir au relativisme éthique, à l’indignation sélective ou, pire encore, à l’appel à la violence. Il s’agit de quelque chose qui dure depuis plus de six décennies maintenant, 56 ans, rien que dans le contexte de l’occupation… l’occupation coloniale militarisée qu’Israël maintient emprisonne les deux peuples… Ce qui se passe doit être replacé dans son contexte, un contexte de décennies d’oppression imposée aux Palestiniens. Les organisations de défense des droits de l’homme ont toujours dit que continuer à opprimer une population en toute impunité conduirait à une catastrophe, et c’est ce qui est en train de se passer” (italiques ajoutés).
Le 7 octobre, Francesca Albanese, rapporteur spécial des Nations unies sur la “situation des droits de l’homme dans les territoires palestiniens occupés depuis 1967”, a tweeté : “Les violences d’aujourd’hui doivent être replacées dans leur contexte. Près de six décennies de domination militaire hostile sur une population civile entière (ignorée de manière incompréhensible par trop de déclarations officielles et de médias) constituent en elles-mêmes une agression et la recette d’une plus grande insécurité pour tous”.

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